CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE) – Le budget exercice 2015 du Projet de développement agricole et de réhabilitation des pistes rurales (PDARP) a été adopté, le 23 décembre 2014 à Brazzaville, par les membres du comité de pilotage du projet. Il s’élève précisément à 3.474.496.482 francs CFA et sera cofinancé par l’Etat congolais et les ressources de l’IDA, une institution de la Banque mondiale.
Des membres du comité de pilotage du PDARP
Ce budget dans lequel l’investissement représente 86%, est réparti comme suit : plus de 521 millions francs CFA pour le renforcement de capacités du ministère de l’agriculture et de l’élevage ; plus de 1 milliard pour la réhabilitation des pistes rurales et infrastructures de marché ; plus de 874 millions destinés au support des activités productrices et génératrices de revenus en milieu rural ; et plus de 386 millions à la gestion et coordination du projet.
En ce qui concerne le financement des microprojets, la construction d’infrastructures de marché, la réhabilitation des pistes rurales et l’entretien des pistes rurales réhabilitées entre 2010-2013, les membres du comité de pilotage ont retenu vingt-deux (22) activités. Neuf (9) départements bénéficieront des financements des microprojets, notamment la Cuvette, le Pool, la Bouenza, le Niari, la Lékoumou, Brazzaville, Pointe-Noire, les Plateaux et le Kouilou.
Les financements seront alloués au maraîchage ; à l’aviculture ; à la pisciculture ; à la production du manioc, du maïs, de la banane, de à l’igname ; la construction des marchés (à Mossaka, Imvouba,, Nkouo, Madingou Gare dans la Bouenza ; la réhabilitation des pistes rurales suivantes : Abala-Ebonga ; Ingolo-Mah-Imvouba et Madingo Bodissa Kayes.
Les activités vont démarre en 2015. L’accord d’un montant de 5,250 milliards de francs CFA a été conclu entre le Congo et la banque mondiale pour une période de 18 mois. Cet accord est intervenu après l’exécution du premier PDARP (2007-2013), de plus de 22 milliards de francs CFA.
Les membres du comité de pilotage ont affirmé que le PDARP initial a été une réussite. Le rapport d’achèvement du PDARP initial, réalisé par Issa Dramé, consultant international et ancien directeur des opérations à la BAD, a mis en évidence les résultats du projet.
Il s’agit, entre autres : du micro financement de 855 microprojets pour un montant de plus de deux milliards de francs CFA ayant bénéficié à plus de 10.000 producteurs organisés en groupements coopératifs ; la réhabilitation dans la zone d’implantation du projet de 1251km de pistes agricoles, ayant permis le désenclavement de plusieurs bassins de production ; la construction d’un débarcadère à Makotipoko, permettant aux pêcheurs d’embarquer et de débarquer dans de meilleures conditions les produits agricoles ; la construction de 36 infrastructures de marchés avec entrepôts, latrines et bureaux ; le renforcement des capacités des administrations et autres structures publiques ; etc.
Le ministre de l’agriculture et de l’élevage, Rigobert Maboundou, qui a ouvert les travaux du comité de pilotage, a souligné l’importance du PDARP. Pour lui, «le champ couvert par les activités du PDARP, des sphères de la production à la commercialisation ; et au financement aux pistes rurales, de la recherche agronomique au renforcement de capacité des activités administratives du MAE et de celui de la Pêche et de l’aquaculture (…) inscrit le secteur rural dans le mouvement général des transformations sociales en cours ».
En ce qui concerne le financement des microprojets, la construction d’infrastructures de marché, la réhabilitation des pistes rurales et l’entretien des pistes rurales réhabilitées entre 2010-2013, les membres du comité de pilotage ont retenu vingt-deux (22) activités. Neuf (9) départements bénéficieront des financements des microprojets, notamment la Cuvette, le Pool, la Bouenza, le Niari, la Lékoumou, Brazzaville, Pointe-Noire, les Plateaux et le Kouilou.
Les financements seront alloués au maraîchage ; à l’aviculture ; à la pisciculture ; à la production du manioc, du maïs, de la banane, de à l’igname ; la construction des marchés (à Mossaka, Imvouba,, Nkouo, Madingou Gare dans la Bouenza ; la réhabilitation des pistes rurales suivantes : Abala-Ebonga ; Ingolo-Mah-Imvouba et Madingo Bodissa Kayes.
Les activités vont démarre en 2015. L’accord d’un montant de 5,250 milliards de francs CFA a été conclu entre le Congo et la banque mondiale pour une période de 18 mois. Cet accord est intervenu après l’exécution du premier PDARP (2007-2013), de plus de 22 milliards de francs CFA.
Les membres du comité de pilotage ont affirmé que le PDARP initial a été une réussite. Le rapport d’achèvement du PDARP initial, réalisé par Issa Dramé, consultant international et ancien directeur des opérations à la BAD, a mis en évidence les résultats du projet.
Il s’agit, entre autres : du micro financement de 855 microprojets pour un montant de plus de deux milliards de francs CFA ayant bénéficié à plus de 10.000 producteurs organisés en groupements coopératifs ; la réhabilitation dans la zone d’implantation du projet de 1251km de pistes agricoles, ayant permis le désenclavement de plusieurs bassins de production ; la construction d’un débarcadère à Makotipoko, permettant aux pêcheurs d’embarquer et de débarquer dans de meilleures conditions les produits agricoles ; la construction de 36 infrastructures de marchés avec entrepôts, latrines et bureaux ; le renforcement des capacités des administrations et autres structures publiques ; etc.
Le ministre de l’agriculture et de l’élevage, Rigobert Maboundou, qui a ouvert les travaux du comité de pilotage, a souligné l’importance du PDARP. Pour lui, «le champ couvert par les activités du PDARP, des sphères de la production à la commercialisation ; et au financement aux pistes rurales, de la recherche agronomique au renforcement de capacité des activités administratives du MAE et de celui de la Pêche et de l’aquaculture (…) inscrit le secteur rural dans le mouvement général des transformations sociales en cours ».
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