CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE)- Le ministre d’État, du développement industriel et de la promotion du secteur privé, Isidore Mvouba a indiqué le 23 décembre à Brazzaville au cours d’une conférence de presse que le Congo est classé au 178e rang dans le rapport du Doing Business de 2015.
Le présiduim
Cette conférence de presse avait pour objectif de vulgariser les réformes adoptées par le gouvernement dans le cadre de l’amélioration du climat des affaires et du classement de la République du Congo au Doing Business ; permettre à la presse d’être mieux édifiée sur le sujet ; sensibiliser les acteurs économiques sur les réformes entreprises par l’état ; rassurer les investisseurs sur la volonté du gouvernement de les accompagner dans la réalisation de leurs projets ; faire un appel aux investisseurs nationaux et internationaux en mettant en relief les opportunités d’affaires dans le pays.
M. Mvouba a indiqué que «le faible taux des investissements hors pétrole soit 5% est un exemple saillant qui montre que le Congo doit diversifier son économie et améliorer ses performances en matière d’investissements».
Les indicateurs du Doing Business présentent dix domaines permettant de réduire les délais, les coûts et le nombre des formalités administratives. Il s’agit de la création d’entreprise ; de l’octroi du permis de conduire ; du transfert de propriété ; de l’obtention du prêt ; de la protection des investisseurs ; du paiement des taxes d’impôts ; du commerce transfrontalier ; de l’exécution des contrats ; du règlement de l’insolvabilité et du raccordement à l’électricité.
Ces indicateurs ont permis au Congo de créer des entreprises et de protéger des investisseurs ainsi que de faire le raccordement à l’électricité ce qui le place en 2013 à la 149e place ; en 2014 à la 170e place ; en 2015 à la 170e place.
S’agissant du plan d’action pour l’amélioration du climat d’affaires au Congo, quelques objectifs principaux ont été énoncés dont l'amélioration de l’environnement des affaires et de la notation du Congo dans le rapport du Doing Businness.
Ces objectifs principaux se composent entre autres de la facilitation du dialogue public/privé ; d’alléger la fiscalité et la parafiscalité ; d’appuyer le développement du secteur privé ; d’améliorer l’environnement juridique et judiciaire ; d’offrir un appui financier et non financier aux PME ; favoriser l’accès des PME au marché ; adapter la formation professionnelle aux besoins des entreprises ; de sensibiliser le secteur public à l’esprit entrepreneurial ; de faciliter l’implantation des entreprises.
«Si le Congo pouvait appliquer les mesures adoptées, son classement au Doing Business pourrait éventuellement être amélioré de façon significative» a conclu Isidore Mvouba.
M. Mvouba a indiqué que «le faible taux des investissements hors pétrole soit 5% est un exemple saillant qui montre que le Congo doit diversifier son économie et améliorer ses performances en matière d’investissements».
Les indicateurs du Doing Business présentent dix domaines permettant de réduire les délais, les coûts et le nombre des formalités administratives. Il s’agit de la création d’entreprise ; de l’octroi du permis de conduire ; du transfert de propriété ; de l’obtention du prêt ; de la protection des investisseurs ; du paiement des taxes d’impôts ; du commerce transfrontalier ; de l’exécution des contrats ; du règlement de l’insolvabilité et du raccordement à l’électricité.
Ces indicateurs ont permis au Congo de créer des entreprises et de protéger des investisseurs ainsi que de faire le raccordement à l’électricité ce qui le place en 2013 à la 149e place ; en 2014 à la 170e place ; en 2015 à la 170e place.
S’agissant du plan d’action pour l’amélioration du climat d’affaires au Congo, quelques objectifs principaux ont été énoncés dont l'amélioration de l’environnement des affaires et de la notation du Congo dans le rapport du Doing Businness.
Ces objectifs principaux se composent entre autres de la facilitation du dialogue public/privé ; d’alléger la fiscalité et la parafiscalité ; d’appuyer le développement du secteur privé ; d’améliorer l’environnement juridique et judiciaire ; d’offrir un appui financier et non financier aux PME ; favoriser l’accès des PME au marché ; adapter la formation professionnelle aux besoins des entreprises ; de sensibiliser le secteur public à l’esprit entrepreneurial ; de faciliter l’implantation des entreprises.
«Si le Congo pouvait appliquer les mesures adoptées, son classement au Doing Business pourrait éventuellement être amélioré de façon significative» a conclu Isidore Mvouba.
Etibert Mobambo
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