CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE)- Le ministre des mines et de la géologie, Pierre Oba, a participé du 24 au 26 juin à Londres (Royaume-Uni) au sommet «Africa Mining on top», en vue de trouver des partenaires à investir dans le secteur minier au Congo.
Ce sommet organisé par le Conseil économique du Commonwealth (CBC)
et le gouvernement britannique avait pour objectif, établir des
partenariats d’investissements dans le secteur des mines, tout en
améliorant les résultats sociaux et économiques des exploitations
minières en Afrique.
La plupart des pays ayant participé à ce sommet viennent d’Afrique anglophone et Lusophone. Le Congo était le seul pays d’Afrique francophone à cette rencontre. Chacun de ces pays présenté les potentialités de son sous-sol et sa réglementation en la matière.
Pour le ministre congolais des mines, Pierre Oba, le secteur minier doit devenir le second moteur économique du pays, complétant le secteur pétrolier.
"Nous avons longtemps minoré l’importance des gisements de fer, manganèse, potasse et phosphates présents dans notre sous-sol, privilégiant le pétrole. Mais, nous avons sensiblement progressé depuis 2005, mettant en place un code minier souple, qui nous a permis d’accorder une centaine de permis de recherches et 55 permis de prospection", a-t-il indiqué.
Il a également indiqué que pour faire rentrer en production les projets miniers de Mag Minerals ou Zanaga Irone Ore, le gouvernement congolais entend financer la construction de grandes infrastructures comme une voie ferrée de 800 km, un minéroduc (pipeline transportant de l’eau mélangée aux minerais de fer) et un port minéralier.
Ce sommet a aussi permis aux différents participants, d’aborder ensemble des questions sensibles pour le secteur en Afrique : la transparence fiscale, la difficile levée de fonds pour des projets miniers africains, la gestion des risques, les politiques d’intégration.
Lord Jonathan Marland, le président du CBC, et Lynne Featherstone, sous-secrétaire d’Etat britannique au développement international, ont tous les deux profité de l’occasion pour inviter les groupes miniers à investir en Afrique tout en faisant œuvre de transparence.
La plupart des pays ayant participé à ce sommet viennent d’Afrique anglophone et Lusophone. Le Congo était le seul pays d’Afrique francophone à cette rencontre. Chacun de ces pays présenté les potentialités de son sous-sol et sa réglementation en la matière.
Pour le ministre congolais des mines, Pierre Oba, le secteur minier doit devenir le second moteur économique du pays, complétant le secteur pétrolier.
"Nous avons longtemps minoré l’importance des gisements de fer, manganèse, potasse et phosphates présents dans notre sous-sol, privilégiant le pétrole. Mais, nous avons sensiblement progressé depuis 2005, mettant en place un code minier souple, qui nous a permis d’accorder une centaine de permis de recherches et 55 permis de prospection", a-t-il indiqué.
Il a également indiqué que pour faire rentrer en production les projets miniers de Mag Minerals ou Zanaga Irone Ore, le gouvernement congolais entend financer la construction de grandes infrastructures comme une voie ferrée de 800 km, un minéroduc (pipeline transportant de l’eau mélangée aux minerais de fer) et un port minéralier.
Ce sommet a aussi permis aux différents participants, d’aborder ensemble des questions sensibles pour le secteur en Afrique : la transparence fiscale, la difficile levée de fonds pour des projets miniers africains, la gestion des risques, les politiques d’intégration.
Lord Jonathan Marland, le président du CBC, et Lynne Featherstone, sous-secrétaire d’Etat britannique au développement international, ont tous les deux profité de l’occasion pour inviter les groupes miniers à investir en Afrique tout en faisant œuvre de transparence.
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