Dakar.
Il s'ouvre ce lundi dans la capitale sénégalaise. Ce forum informel sur la paix et la sécurité en Afrique se tient sous le haut patronage du président Macky Sall. Il réunira deux jours durant, experts, chercheurs, militaires, et responsables politiques ou membres de la société civile autour des thèmes de l'extrêmisme violent et de la gestion des espaces africains. Le Forum est co-financé par une vingtaine d'entreprises de défense et de sécurité françaises et européennes.
Le Forum de Dakar aura lieu cette année au centre de conférence Abdou Diouf avec la participation du centre sénégalais des Hautes études de défense et de sécurité. Il est avant tout un moment d'échange et de réflexion, il n'y aucune résolution ni déclaration politique à attendre. Le Forum n'est pas une instance de décision, comme l'est le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine, rappelle-t-on avant le Forum.
D'ailleurs, le commissaire Smaïl Chergui sera là, comme à chacune des éditions. L'an dernier, le Forum s'était terminé sur un constat simple : « nos sécurités sont liées » n'avaient cessé de répéter les représentants africains et occidentaux. Quatre jours plus tard, Paris était frappée par des attentats, puis ce fut le tour de Bamako, Ouagadougou, Grand-Bassam. Sur le continent la menace jihadiste persiste en Afrique de l'Ouest, au Sahel, au Maghreb et dans la Corne.
Le Forum de Dakar aura lieu cette année au centre de conférence Abdou Diouf avec la participation du centre sénégalais des Hautes études de défense et de sécurité. Il est avant tout un moment d'échange et de réflexion, il n'y aucune résolution ni déclaration politique à attendre. Le Forum n'est pas une instance de décision, comme l'est le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine, rappelle-t-on avant le Forum.
D'ailleurs, le commissaire Smaïl Chergui sera là, comme à chacune des éditions. L'an dernier, le Forum s'était terminé sur un constat simple : « nos sécurités sont liées » n'avaient cessé de répéter les représentants africains et occidentaux. Quatre jours plus tard, Paris était frappée par des attentats, puis ce fut le tour de Bamako, Ouagadougou, Grand-Bassam. Sur le continent la menace jihadiste persiste en Afrique de l'Ouest, au Sahel, au Maghreb et dans la Corne.
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