Brazzaville.
Plus de 1.500 demandeurs d'asile ont été déboutés en République du Congo qui leur a refusé le statut de réfugié, a déclaré dimanche à Brazzaville, à Xinhua, le président de l'Association pour les droits de l'Homme et l'univers carcéral (ADHUC), Loamba Moke.
"L'ADHUC a écrit au ministre des Affaires étrangères, pour faire part de ses profondes inquiétudes relativement à la situation des demandeurs d'asile déboutés en République du Congo", a indiqué M. Moke, précisant qu'ils sont, au total, plus de 1.500 personnes, en majorité des ressortissants de la République démocratique du Congo et quelques Rwandais, Ivoiriens et Centrafricains.
Selon lui, la délibération de la Commission d'éligibilité au statut de réfugié fait état de ce que "la crainte ne se justifie plus" pour ces demandeurs d'asile de retourner dans leurs "pays d'origine où la situation s'est améliorée".
"Ces personnes sont désormais considérées comme des irréguliers sur le territoire congolais... L'ADHUC plaide pour un examen judicieux de ces cas, avec comme résultat, accorder le statut de réfugié à ces demandeurs d'asile qui viennent de passer un séjour déjà très long en République du Congo", a conclu M. Moke.
"L'ADHUC a écrit au ministre des Affaires étrangères, pour faire part de ses profondes inquiétudes relativement à la situation des demandeurs d'asile déboutés en République du Congo", a indiqué M. Moke, précisant qu'ils sont, au total, plus de 1.500 personnes, en majorité des ressortissants de la République démocratique du Congo et quelques Rwandais, Ivoiriens et Centrafricains.
Selon lui, la délibération de la Commission d'éligibilité au statut de réfugié fait état de ce que "la crainte ne se justifie plus" pour ces demandeurs d'asile de retourner dans leurs "pays d'origine où la situation s'est améliorée".
"Ces personnes sont désormais considérées comme des irréguliers sur le territoire congolais... L'ADHUC plaide pour un examen judicieux de ces cas, avec comme résultat, accorder le statut de réfugié à ces demandeurs d'asile qui viennent de passer un séjour déjà très long en République du Congo", a conclu M. Moke.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire