En marge d’une table ronde sur le thème «mines et biodiversité», organisée par le gouvernement guinéen et dont les travaux ont lieu du 7 au 9 juin à Conakry, International Finance Corporation (IFC), membre du Groupe de la Banque mondiale, s’engage à aider les opérateurs miniers à promouvoir les meilleurs pratiques et à développer des approches durables pour protéger la biodiversité au moment où la Guinée se lance dans le développement du secteur minier.
TBLa table ronde examinera les effets des mines sur la biodiversité marine et terrestre et les écosystèmes. « La Guinée regorge d’importantes ressources minières, agricoles et hydroélectriques associées à une riche biodiversité. IFC va intégrer un groupe d’acteurs aux discussions et élargir nos perspectives sur les impacts de la biodiversité au-delà des projets individuels », a déclaré Seynabou Ba, chef du Département Environnement et Social d’IFC en Afrique.
Pour sa part, Abdoulaye Magassouba, ministre des Mines et de la Géologie a annoncé que le gouvernement guinéen est déterminé à explorer les ressources minérales du pays pour atteindre ses objectifs de développement tout en préservant l’environnement.
«Cette table ronde est une excellente occasion de travailler avec les différentes parties prenantes et de les sensibiliser sur les pratiques mondiales essentielles dans la prise en compte des impacts de l’activité minière et de la protection des écosystèmes », a indiqué le ministre des Mines.
La table ronde se veut également une plateforme destinée au gouvernement guinéen, aux donateurs, au secteur privé et à la société civile afin d’explorer toutes les opportunités qui permettront d’améliorer la gestion des risques liés à la biodiversité.
Les participants pourront ainsi partager leurs visons sur les rôles, responsabilités et capacités éventuels des différentes parties prenantes et les partenaires et domaines de collaboration possibles pour soutenir la durabilité des écosystèmes.
IFC, faut-il le rappeler, investit dans le secteur minier en Guinée et assure que les projets qu’elle finance soient conformes aux normes de performance de l’institution notamment : sauvegarder la biodiversité et optimiser les bénéfices générés pour les communautés et l’économie locale. Sa participation à la table ronde s’inscrit dans le cadre du programme d’appui d’IFC visant à répondre aux contraintes qui pourraient faire échouer ou mettre un terme à un potentiel investissement à cause d’un seul client ou groupe de clients.
La table ronde sur la biodiversité émane des programmes du Groupe de la Banque mondiale qui vise à améliorer la gouvernance dans le secteur minier et la transparence dans le secteur public en Guinée.
TBLa table ronde examinera les effets des mines sur la biodiversité marine et terrestre et les écosystèmes. « La Guinée regorge d’importantes ressources minières, agricoles et hydroélectriques associées à une riche biodiversité. IFC va intégrer un groupe d’acteurs aux discussions et élargir nos perspectives sur les impacts de la biodiversité au-delà des projets individuels », a déclaré Seynabou Ba, chef du Département Environnement et Social d’IFC en Afrique.
Pour sa part, Abdoulaye Magassouba, ministre des Mines et de la Géologie a annoncé que le gouvernement guinéen est déterminé à explorer les ressources minérales du pays pour atteindre ses objectifs de développement tout en préservant l’environnement.
«Cette table ronde est une excellente occasion de travailler avec les différentes parties prenantes et de les sensibiliser sur les pratiques mondiales essentielles dans la prise en compte des impacts de l’activité minière et de la protection des écosystèmes », a indiqué le ministre des Mines.
La table ronde se veut également une plateforme destinée au gouvernement guinéen, aux donateurs, au secteur privé et à la société civile afin d’explorer toutes les opportunités qui permettront d’améliorer la gestion des risques liés à la biodiversité.
Les participants pourront ainsi partager leurs visons sur les rôles, responsabilités et capacités éventuels des différentes parties prenantes et les partenaires et domaines de collaboration possibles pour soutenir la durabilité des écosystèmes.
IFC, faut-il le rappeler, investit dans le secteur minier en Guinée et assure que les projets qu’elle finance soient conformes aux normes de performance de l’institution notamment : sauvegarder la biodiversité et optimiser les bénéfices générés pour les communautés et l’économie locale. Sa participation à la table ronde s’inscrit dans le cadre du programme d’appui d’IFC visant à répondre aux contraintes qui pourraient faire échouer ou mettre un terme à un potentiel investissement à cause d’un seul client ou groupe de clients.
La table ronde sur la biodiversité émane des programmes du Groupe de la Banque mondiale qui vise à améliorer la gouvernance dans le secteur minier et la transparence dans le secteur public en Guinée.
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