|
Le Réseau national de lutte anti-corruption (REN-LAC) constate que l’audit sur la gestion de la transition a confirmé que le premier ministre ainsi que d’autres ministres de la transition ont acquis des parcelles, « en violation des dispositions de la constitution », sans compter d’autres manquements, « comme l’illustrent ces décaissements parfois à hauteur du milliard et contre simple décharge, constatés à la primature ».
Pour que les révélations faites par L’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de lutte contre la corruption (ASCE-LC) ne dorment pas dans les tiroirs, le secrétaire exécutif adjoint du réseau, Sagado Nacanabo martèle que les manquements doivent faire l’objet d’une répression sans complaisance. Et ces manquement au plus haut niveau de l’Etat font dire au réseau que « quand les dirigeants se mettent aux avant-postes du pillage des ressources et biens, il leur est difficile de tenir le bâton de commandement en matière de lutte contre la corruption et pour le civisme ».
« Toutes les personnes impliquées dans ces manquements, quelle que soit
Pour que les révélations faites par L’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de lutte contre la corruption (ASCE-LC) ne dorment pas dans les tiroirs, le secrétaire exécutif adjoint du réseau, Sagado Nacanabo martèle que les manquements doivent faire l’objet d’une répression sans complaisance. Et ces manquement au plus haut niveau de l’Etat font dire au réseau que « quand les dirigeants se mettent aux avant-postes du pillage des ressources et biens, il leur est difficile de tenir le bâton de commandement en matière de lutte contre la corruption et pour le civisme ».
« Toutes les personnes impliquées dans ces manquements, quelle que soit
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire