Le président de la Commission nationale électorale indépendante (CNEI), Henri Bouka a, au cours d’une conférence de presse animée le 28 mars à Brazzaville, rejeté toutes les allégations portées sur son institution selon lesquelles, elle aurait fait preuve de partialité dans la proclamation des résultats de l’élection présidentielle du 20 mars dernier.
Répondant à certaines critiques formulées contre son institution, aussi bien au plan national qu’international, ce dernier a déclaré : « Devant le peuple du Congo qui nous écoute on peut dire sans détour que la commission, contrairement à ce qui se dit est impartiale. Elle a travaillé en toute impartialité avec abnégation et esprit de responsabilité. Elle ne s’est pas dérobée de ses responsabilités ».
Dans ses explications, le président de la CNEI a reprécisé le contexte du déroulement du vote depuis le dépôt des candidatures jusqu’au dépouillement, compilation et proclamation des résultats en passant par des opérations préparatoires sans oublier les recours exercés, les modalités de nomination de ceux qui ont accompagné l’élection. « Tout cela a été encadré par les lois de la République, sous la tutelle desquelles nous avons travaillé », a-t-il ajouté.
Il a appuyé son argumentaire en se fondant aux conclusions des observateurs internationaux venus superviser cette élection et qui ont de leur part, loué la manière dont ce scrutin s’est déroulé.
Pour Henri Bouka, quand on fait acte de candidature, on adhère à une logique qui est elle-même encadrée par les lois de la République. Quand on n’obéit pas à cette logique, on n’est plus dans le jeu électoral. Il a d’autre part regretté le fait que la polémique ait gagné certains pays amis qui en font aujourd’hui leur affaire.
Dans ses explications, le président de la CNEI a reprécisé le contexte du déroulement du vote depuis le dépôt des candidatures jusqu’au dépouillement, compilation et proclamation des résultats en passant par des opérations préparatoires sans oublier les recours exercés, les modalités de nomination de ceux qui ont accompagné l’élection. « Tout cela a été encadré par les lois de la République, sous la tutelle desquelles nous avons travaillé », a-t-il ajouté.
Il a appuyé son argumentaire en se fondant aux conclusions des observateurs internationaux venus superviser cette élection et qui ont de leur part, loué la manière dont ce scrutin s’est déroulé.
Pour Henri Bouka, quand on fait acte de candidature, on adhère à une logique qui est elle-même encadrée par les lois de la République. Quand on n’obéit pas à cette logique, on n’est plus dans le jeu électoral. Il a d’autre part regretté le fait que la polémique ait gagné certains pays amis qui en font aujourd’hui leur affaire.
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