Après les discours et les vœux des politiques, la place sera laissée aux experts pour conduire les négociations à la 21ème conférence des parties de Paris qui prendra fin le 11 décembre. Le Président de la République, Macky Sall parlant au nom du NEPAD et de l’Association des maires francophones (AMF), a donné des pistes de négociations aux experts qui doivent porter et défendre les intérêts des pays africains.
Convaincu que si les pays en développement, africains en particulier, renoncent aux sources d’énergie les plus accessibles et les moins coûteuses, cela entraînera inéluctablement des pertes de compétitivité qui amplifieront notre retard sur le processus d’industrialisation et de développement. C’est pourquoi il a demandé aux experts de défendre vaille que vaille pour l’Afrique, le coût de l’adaptation qui est estimé entre 7 et 15 milliards de dollars par an. Dans ce sens, il avance que le Fonds Vert Climat soit doté de ressources adéquates pour accompagner les efforts d’adaptation et soutenir le transfert de technologies écologiquement viables.
«Nous avons déjà acquis des résultats importants après mon entrevue avec le Président Français, François Hollande, qui est prêt à accompagner certains projets comme le Lac Tchad, l’OMVS, l’OMVG, la grande muraille verte, etc... », se félicite-t-il déjà, non sans révéler que les financements ont déjà commencé à sortir, mais il ne faut pas « qu’on nous retarde avec des procédures …»
Le Président de la République, Macky Sall a également plaidé pour l’application du principe pollueur-payeur, d’éviter de verser dans des généralités qui ne profitent pas à l’Afrique, un financement conséquent de l’électrification, protection climat et l’accompagnement des projets comme le Lac Tchad, l’OMVS, OMVG, la grande muraille verte, entre autres projets qui tiennent à cœur le continent africain.
Convaincu que si les pays en développement, africains en particulier, renoncent aux sources d’énergie les plus accessibles et les moins coûteuses, cela entraînera inéluctablement des pertes de compétitivité qui amplifieront notre retard sur le processus d’industrialisation et de développement. C’est pourquoi il a demandé aux experts de défendre vaille que vaille pour l’Afrique, le coût de l’adaptation qui est estimé entre 7 et 15 milliards de dollars par an. Dans ce sens, il avance que le Fonds Vert Climat soit doté de ressources adéquates pour accompagner les efforts d’adaptation et soutenir le transfert de technologies écologiquement viables.
«Nous avons déjà acquis des résultats importants après mon entrevue avec le Président Français, François Hollande, qui est prêt à accompagner certains projets comme le Lac Tchad, l’OMVS, l’OMVG, la grande muraille verte, etc... », se félicite-t-il déjà, non sans révéler que les financements ont déjà commencé à sortir, mais il ne faut pas « qu’on nous retarde avec des procédures …»
Le Président de la République, Macky Sall a également plaidé pour l’application du principe pollueur-payeur, d’éviter de verser dans des généralités qui ne profitent pas à l’Afrique, un financement conséquent de l’électrification, protection climat et l’accompagnement des projets comme le Lac Tchad, l’OMVS, OMVG, la grande muraille verte, entre autres projets qui tiennent à cœur le continent africain.
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