mercredi 25 novembre 2015
Pourquoi le président Sall doit déloger Yahya Jammeh et l’envoyer direct à Rebeuss !!!
Le président sénégalais Macky Sall devrait destituer le fou de la Gambie. Et oui, par tous les moyens nécessaires. Les récentes provocations du tyran qui a délibérément offensé le Sénégal, sont une raison de plus de le chasser du pouvoir. Jaloux de la notoriété internationale du président Sall et mécontent de son isolement, le président Yahya Jammeh a fait des commentaires sarcastiques sur le président sénégalais, le traitant de marionnette de l’occident. Au prédécesseur du président Sall, le président Abdoulaye Wade, il avait promis de siroter du café sur sa tête chauve, s’il osait le juger. Rappelons qu’il n’avait pas de relations chaleureuses avec le président Diouf non plus. Depuis plus de 20 ans, Yahya Jammeh opprime le peuple gambien et fait des déclarations sarcastiques à l’endroit du Sénégal ou toute autre personne qui réveille le démon en lui. Yahya Jammeh déteste le Sénégal parce qu’il le perçoit comme une menace pour sa vision despotique du monde. Tout d’abord, le Sénégal est un symbole d’espoir, de civilité et de valeur en Afrique et dans le monde en général. Les populations sont catégoriques, véridiques et déterminées lorsqu’il s’agit de défense de leurs droits, de leurs libertés civiles et de leurs institutions démocratiques. Le monde entier envie leur esprit indépendant. On trouve les meilleurs militants des droits de l’homme au Sénégal, des journalistes aux marins, en passant par les professeurs, les politiques, les intellectuels et les personnes lambda. Au Sénégal, un jeune de 15 ans est à l’aise dans les débats sur les questions d’actualité de son pays, sans crainte de représailles. Les populations s’investissent dans les affaires de leur pays et qu’est ce qu’elles désirent le progrès. Elles sont également protectrices de leur esprit indépendant en tant que citoyens. Je suis toujours émue d’entendre mes neveux sénégalais se vanter de la démocratie du Sénégal et de la façon dont ils discutent librement des questions de leur nation. Cela ne se produira jamais en Gambie sous Yahya Jammeh. Ce tyran fou a détruit toutes les formes de voies institutionnelles qui peuvent mener au progrès national. Il a également systématiquement détruit toutes les formes d’interactions humaines décentes entre les populations gambiennes. Le discours politique est autorisé uniquement dans la mesure qu’il juge acceptable. La Constitution n’existe que comme un simple mot sur du papier pour lui. Il a détruit de nombreuses relations familiales, causé la division entre maris et femmes, fait des filles, des prostituées, épousant des femmes par l’intimidation ou incitation à l’argent. Il a réduit beaucoup de personnes à le vénérer, réduisant ainsi leur intégrité en cendres. Yahya Jammeh a enfermé, torturé et tué beaucoup de braves fils et filles de la Gambie, laissant leurs familles dans l’angoisse, le chagrin et la dépression sans espoir. Moralement, physiquement et intellectuellement, Yahya Jammeh a volé aux gambiens la paix de l’esprit. La population vit dans la crainte du fou. Le Sénégal est le pays de la Téranga et sa sœur, la Gambie était la côte souriante de l’Afrique. Mais la Gambie jadis connue comme la côte souriante de l’Afrique ne l’est plus. Yahya Jammeh en fait la côte qui pleur. Ce fou de Banjul est une machine de la terreur, qui marche sur des cadavres de dignes enfants de la Gambie. Il a détruit toutes les formes d’évolution ou de progrès de la Gambie, tant sur le plan humain qu’institutionnel. Il n’est même plus nécessaire de continuer de parler de lui. La situation en Gambie ne laisse pas le Sénégal indifférent. Tout ce qu’il demande c’est une solution, pour apporter le changement en faveur de l’indépendance, la liberté, la démocratie et les relations bilatérales harmonieuses entre les deux voisins. Le président Sall ne veut vraisemblablement pas s’ingérer dans les affaires internes de la Gambie. Mais Yahya Jammeh ne connaît pas de limites lorsqu’il crée le désordre. C’est un secret de polichinelle que d’affirmé qu’il s’ingère dans la politique intérieure du Sénégal. Il est un danger clair et réel pour la Gambie et le Sénégal. Il est également un manipulateur de la pire espèce. Le président Sall devrait non seulement le considérer comme un malade, mais il devrait également mépriser sa grossièreté et ses digressions insensées. L’histoire a montré que les fous au pouvoir ne demeurent jamais. Adolf Hitler, Gengis Khan, Idi Amin, Léopold II de Belgique, Pol Pot et Joseph Staline, pour ne citer que ceux là, ont tous été évincés. Il a fallu des horreurs, des cadavres dans chacun de ces derniers cas pour que de bonnes personnes avec leurs moyens rassemblés aient la volonté d’évincer ces monstres. C’est la sécurité nationale et les intérêts du Sénégal qui sont en jeu dans la destitution de Yahya Jammeh. C’est pour le bien des deux pays! Ce despote de pacotille s’est longtemps servit du conflit en Casamance comme un levier pour troubler les dirigeants sénégalais successifs. Il a attisé les flammes de ce conflit pour faire chanter et conspirer contre le gouvernement sénégalais. Il a aidé et encouragé les rebelles en Casamance en leur fournissant un soutien matériel et l’asile pour leur permettre de poursuivre sa méchante volonté de déstabiliser le Sénégal. Ravi que Macky accorde beaucoup d’attention à la Casamance pour une évolution positive de la situation dans cette partie du Sénégal. (Voir : Macky Prend le taureau par les cornes Par Fatou Jaw Manneh). Les dernières propositions de Yahya Jammeh pour les négociations de la paix en Casamance étaient fausses et cyniques et visaient à dissimuler son soutien aux rebelles. Son hypocrisie a déjà été découverte par les services secrets sénégalais. Et il crée et prolonge les conflits frontaliers entre nos deux pays pour imposer des coûts financiers et économiques au Sénégal. Là où Yahya Jammeh a des intérêts, le Sénégal n’a pas bonne réputation à les protéger. Yahya Jammeh a toujours pointé du doigt le Sénégal pour chaque menace réelle ou imaginée à la quelle il a fait face. Rien que cette année, il a accusé le Sénégal de participer au coup d’Etat manqué de décembre dernier qui visait à l’évincer du pouvoir. Ces accusations remontent à des années de sa méfiance du Sénégal, quelque soit le dirigeant au pouvoir au Sénégal. A plusieurs reprises, il a accusé le Sénégal d’accueillir, de créer ou d’agir comme un havre de paix pour l’armée croissante de ses détracteurs qui ont fuit le pays. Et nous remercions le Sénégal d’étendre sa Teranga aux exilés gambiens. Toute la tension entre Banjul et Dakar et ces accusations de Jammeh remontent aux premières années de son coup d’Etat et se poursuivent jusqu’à nos jours. L’événement le plus marquant est probablement celui de 2005 où le Sénégal a fermé ses frontières après un violent malentendu entre Banjul et Dakar relatifs aux tarifs des transbordeurs, ce qui été suivi de son animosité à l’égard du président sénégalais Abdoulaye Wade. Abdou Diouf n’avait non plus aucune bonne relation avec lui en raison de plusieurs références biaisées, tordues, déformées et illogiques au conflit en Casamance. Depuis lors, pour les services de renseignement sénégalais, ce n’est plus un secret que Jammeh faisait plus que s’ingérer dans leur région sud où les rebelles poursuivaient une guerre d’indépendance à faible intensité contre le gouvernement à Dakar. Malgré ses nombreuses tentatives hypocrites de médiateur malhonnête, l’ingérence complice du gouvernement de Jammeh dans le conflit au sud du Sénégal n’a servi qu’à creuser le fossé entre les deux voisins. L’arrivée de Macky Sall a été caractérisée par beaucoup de prétention de bonne volonté de la part de Jammeh qui, moins d’un an plus tard, a exécuté neuf prisonniers condamnés à mort, parmi lesquels deux Sénégalais dont une femme du nom de Tabara Samba dont le fils réclame toujours le corps de sa mère. Il a installé l’hostilité qui est devenue réelle et continue de calomnier Dakar à partir de Banjul, à la grande déception du nouveau président sénégalais. En fait, Jammeh cet idiot ne se rend même pas compte que le Sénégal ne fait que mépriser ses transgressions. Mais l’ignorer au détriment des citoyens gambiens est une manière d’affermir son emprise de tyran sur les citoyens gambiens. Le plus écœurant, c’est son hypocrisie religieuse. C’est une honte de partager la belle religion qu’est l’Islam avec ce terroriste de président Jammeh. Il n’a aucune foi en Dieu ou au Coran. Il adore les djinns, satan et se livre à la débauche. Un bon musulman ne détruit pas ses citoyens. C’est un hypocrite et un faux musulman. Il n’a aucun respect pour le Coran, la parole de Dieu ou les enseignements de Mahomet (PSL). Il a arrêté, torturé et poussé à l’exilé nos braves imams et nos enseignants religieux qui ne veulent pas se plier à sa déraison ou tolérer son obscénité. Il passe le plus clair de son temps à abuser des jeunes filles et débaucher leurs mères. Macky s’il vous plaît rappelez-vous que les grands dirigeants portent ce nom, non SEULEMENT parce qu’ils sont intelligents, populaire ou beau ou encore ont des politiques distinguées ou un bon tempérament, OUI, toutes ces qualités comptent, mais encore d’avantage, par ce que qu’ils prennent des risques pour le plus grand bien des peuples, même si cela pourrait impacter sur leur popularité ou leur coûter leurs royaumes ou leurs postes. Les dirigeants sont nombreux mais seuls quelques-uns en sont des grands. La Gambie va compter sur vous pour être un de ces grands dirigeants. Le Sénégal devrait considérer Yahya Jammeh pour ce qu’il est vraiment: un ennemi. Le Sénégal a les pouvoirs d’étouffer ce Jammeh dans la jungle actuelle qu’il a créée en Gambie, ou l’attraper et l’envoyer à Rebeuss !!! C’est un terroriste, un criminel et un tueur en série alors il mérite bien une place à Rebeuss !!! Ou du moins, le Sénégal devrait permettre à des Gambiens patriotiques de le faire. C’est une urgence. Nous n’avons pas peur de lui. S’il vous plaît ne vous mettez pas sur notre chemin. Yahya Jammeh est brutale, insensible et paresseux. La Gambie est sous la malédiction d’un BOMBACLAAT qui se réveille le matin, renifle quelle la famille détruire, quel décent citoyen torturer ou tuer, faisant de la Gambie une terre possédée. Yahya Jammeh n’a pas sa place dans un monde civilisé.
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