COMMUNIQUE DU GOUVERNEMENT
« Quand le soleil apparait, même lorsqu’on est sous sa tente, les rayons nous parviennent », aime-t-on au Mali. En d’autres termes et pour coller à la culture malienne et universelle, la vérité finit toujours par triompher. Des esprits mal intentionnés tentent par les temps qui courent de saboter les succès palpables et vérifiables des actions du gouvernement sous la conduite du président Ibrahim Boubacar Keita. Ils sont allés jusqu’à proférer des propos malveillants à l’adresse du président de la république. Ce qui apparait au vu de notre culture, de notre éducation comme indigne de ceux qui ont appris à se respecter.Ceux qui s’aventurent sur ce terrain juste pour nier les faits sont de mauvaise foi. Et cela est connu. Or, comme le disent les hommes de droit, les faits sont têtus. Un verbiage aussi soigné soit-il ne peut les effacer. La visite d’Etat du président de la République en France du 20 au 24 octobre 2015 a été un franc succès reconnu par la communauté internationale, par la presse internationale et surtout par le peuple malien dans son immense majorité qui a réservé un accueil des plus grandioses au Président Ibrahim Boubacar Keita.
Cette visite d’Etat et la Conférence d’appel de fonds en faveur du Mali coprésidée à lOCDE par les présidents français et malien, leurs Excellences François Hollande et Ibrahim Boubacar Keita vont permettre au Mali de donner un coup d’accélérateur à son développement, à sa reconstruction et à la consolidation des acquis de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation au Mali issu du Processus d’Alger signé le 15 Mai parachevé le 20 juin 2015. Tenter de nier ce fait c’est refuser l’évidence.
Les Maliens ne sont pas dupes et savent reconnaitre le mérite. Leur servir en refrain déjà vu et déjà entendu depuis l’élection du président Ibrahim Boubacar Keita ne les détournera pas de la voie qu’ils ont choisie en le portant à leur tête pour les conduire vers un avenir meilleur.
Le gouvernement prend le peuple à témoin et se réserve le droit de tirer toutes les conséquences des agissements qui corrodent la démocratie, la liberté d’expression à laquelle il demeure profondément attaché et ramènent le débat démocratique à un niveau inacceptable qui ne reflète pas la maturité de la classe politique malienne.
Les faits sont là. Ils sont têtus. On est mal fondé à vouloir à tout prix, à tout moment et en tout lieu donner des leçons de morale quand on est pas soi-même un exemple de vertu.
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