Le chef suprême des armées, Macky Sall, a décidé de revaloriser le salaire des militaires. C'est ainsi que, après avoir pris, le 13 avril dernier, le décret n° 2015-497/Pr/Mfa portant modification de l'article 2 du décret n° 78 du 18 décembre 1978 fixant à titre provisoire l'échelonnage indiciaire applicable au personnel militaire de l'armée et de la gendarmerie ainsi que le taux des allocations de solde permanente, Macky Sall a pris d'autres décrets pour rehausser les émoluments des chefs de l'armée et de la gendarmerie.
Selon “Libération”, le chef d'Etat major général des armées (Cemga) et le Haut commandant de la gendarmerie (Comgen) se retrouvent désormais avec un salaire mensuel de 4 millions. Quant au chef d'Etat major particulier (Cempart) et l'Inspecteur général des armées (Ifga), ils se tapent 3 millions.
Aussi, les officiers supérieurs de l'armée et de la gendarmerie détenteurs du diplôme d'école supérieur de guerre et d'intendant militaire-enseignement militaire second degré (Em 2) vont bénéficier d'une prime mensuelle de 300.000 contre 240.000 pour le personnel navigant (pilotes) et les ingénieurs et 121.290 pour les titulaires du diplôme d'Etat-major. Le sous-Cemga et les chefs d'état-major d'armée bénéficient, respectivement, de prime mensuelle de 700.000 et 600.000 Fcfa.
Dans la gendarmerie, le Haut commandant de la gendarmerie en second et le commandant de la gendarmerie territoriale se retrouvent avec des primes de 700.000 et 600.000 Fcfa. Les autres généraux de l'armée ont une prime de 500.000, tandis que les Directeurs de service et les chefs de chaines touchent une prime de 400.000. Le médecin du Président et son aide du camp, le médecin-chef de l'hôpital militaire de Ouakam, le chef de cabinet du Cemga, l'officier-adjoint chef d'état-major, le chef de cabinet du haut commandant de la gendarmerie et les inspecteurs techniques de l'armée nationale bénéficient également d'une prime de 300.000 Fcfa.
Seulement, ni les sous-officiers, ni les hommes de troupe n'ont droit à ces primes. Ce qui, selon “Libération”, fait “râler les sous-officiers”.
Selon “Libération”, le chef d'Etat major général des armées (Cemga) et le Haut commandant de la gendarmerie (Comgen) se retrouvent désormais avec un salaire mensuel de 4 millions. Quant au chef d'Etat major particulier (Cempart) et l'Inspecteur général des armées (Ifga), ils se tapent 3 millions.
Aussi, les officiers supérieurs de l'armée et de la gendarmerie détenteurs du diplôme d'école supérieur de guerre et d'intendant militaire-enseignement militaire second degré (Em 2) vont bénéficier d'une prime mensuelle de 300.000 contre 240.000 pour le personnel navigant (pilotes) et les ingénieurs et 121.290 pour les titulaires du diplôme d'Etat-major. Le sous-Cemga et les chefs d'état-major d'armée bénéficient, respectivement, de prime mensuelle de 700.000 et 600.000 Fcfa.
Dans la gendarmerie, le Haut commandant de la gendarmerie en second et le commandant de la gendarmerie territoriale se retrouvent avec des primes de 700.000 et 600.000 Fcfa. Les autres généraux de l'armée ont une prime de 500.000, tandis que les Directeurs de service et les chefs de chaines touchent une prime de 400.000. Le médecin du Président et son aide du camp, le médecin-chef de l'hôpital militaire de Ouakam, le chef de cabinet du Cemga, l'officier-adjoint chef d'état-major, le chef de cabinet du haut commandant de la gendarmerie et les inspecteurs techniques de l'armée nationale bénéficient également d'une prime de 300.000 Fcfa.
Seulement, ni les sous-officiers, ni les hommes de troupe n'ont droit à ces primes. Ce qui, selon “Libération”, fait “râler les sous-officiers”.
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