«
C’est l’Afrique qui ose et l’Afrique qui gagne. » Voilà l’esprit
politique et artistique qui régnait samedi 28 février lors de
l’ouverture de la 24e édition du Fespaco au Burkina Faso, à Ouagadougou,
capitale du cinéma africain jusqu’au 7 mars. Après la cérémonie au
Palais des sports, les 5 000 spectateurs ont apprécié le spectacle… et
une certaine liberté retrouvée après la révolution. « Le premier Fespaco
après la révolution, pour moi, cela signifie la renaissance.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire