CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE) – Dans un message délivré le 20 novembre 2014 à Brazzaville, à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes , la ministre de la promotion de la femme et de l’intégration de la femme au développement, Catherine Embondza Lipiti, a invité les Congolais à augmenter les actions de prévention des violences à l’égard de la femme.
La Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes est célébrée le 25 novembre de chaque année. Pour cette année, au niveau national, elle a été placée sous le thème : «Jeunes du Congo, engageons-nous pour une jeunesse sans violence et respectueuse de la dignité de la femme». Le thème retenu au niveau international était : « Prévenir les violences à l’égard des femmes : un défi pour tous ».
L’enquête menée en 2010 auprès des étudiants dans les établissements d’enseignement supérieur de Brazzaville révèle que le harcèlement sexuel est la principale forme de violences, avec un pourcentage d'environ 61% de cas de violences, suivi des rapports sexuels forcés d’un pourcentage (36%) et du viol (3%).
« Chaque jour qui passe dans le monde en général et dans notre pays en particulier, une fille ou une femme au moins est victime d’une battue, d’un viol ou d’une quelconque violence physique, morale ou psychologique. Ce qui bafoue sa dignité, en dépit des efforts entrepris par les Etats et les gouvernements pour éradiquer le phénomène de violences.
Au Congo, les premières victimes de violences sexuelles déclarées auprès des unités de lutte contre les violences sexuelles sont les plus jeunes dont la tranche d’âge varie entre 12 et 15 ans », a indiqué Catherine Embondza Lipiti.
Pour elle la célébration de cette journée est aussi l’occasion de faire le bilan des actions menées pendant les deux années de mise en œuvre de la campagne « Tolérance zéro maintenant contre les violences sexuelles basées sur le genre et l’impunité des auteurs ».
La Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes a été instituée en décembre 1999 par les Nations unies, en mémoire de Patricia, Minerva et Maria Theresa Mirabal, militantes dominicaines assassinées en 1960 par le pouvoir de l’époque alors qu’elles militaient pour les droits des femmes.
L’enquête menée en 2010 auprès des étudiants dans les établissements d’enseignement supérieur de Brazzaville révèle que le harcèlement sexuel est la principale forme de violences, avec un pourcentage d'environ 61% de cas de violences, suivi des rapports sexuels forcés d’un pourcentage (36%) et du viol (3%).
« Chaque jour qui passe dans le monde en général et dans notre pays en particulier, une fille ou une femme au moins est victime d’une battue, d’un viol ou d’une quelconque violence physique, morale ou psychologique. Ce qui bafoue sa dignité, en dépit des efforts entrepris par les Etats et les gouvernements pour éradiquer le phénomène de violences.
Au Congo, les premières victimes de violences sexuelles déclarées auprès des unités de lutte contre les violences sexuelles sont les plus jeunes dont la tranche d’âge varie entre 12 et 15 ans », a indiqué Catherine Embondza Lipiti.
Pour elle la célébration de cette journée est aussi l’occasion de faire le bilan des actions menées pendant les deux années de mise en œuvre de la campagne « Tolérance zéro maintenant contre les violences sexuelles basées sur le genre et l’impunité des auteurs ».
La Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes a été instituée en décembre 1999 par les Nations unies, en mémoire de Patricia, Minerva et Maria Theresa Mirabal, militantes dominicaines assassinées en 1960 par le pouvoir de l’époque alors qu’elles militaient pour les droits des femmes.
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