CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE) - Un accord à vocation économique a été récemment conclu à Rome entre le Congo et l’Italie. Le Congo a été représenté par le ministre en charge de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux Jean Jacques Bouya et l’Italie par le vice-ministre du développement économique Carlo Calenda.
Cet accord résulte du protocole signé en juillet dernier entre les deux pays, lors de la visite du Premier ministre italien Matteo Renzi à Brazzaville. Il porte sur la garantie financière de l’Etat italien au profit des sociétés italiennes investissant au Congo.
Le texte prévoit l’aménagement et la construction d’une ville moderne d’environ 6000 logements à Kintélé, dans la banlieue nord de la capitale congolaise.
En outre, cet accord prévoit l’ouverture imminente d’un bureau économique à l’ambassade de l’Italie au Congo, la formation des cadres congolais dans les domaines variés de l’ingénierie, ainsi que la construction d’une cimenterie italienne au Congo.
L’Etat congolais est, pour sa part, appelé à garantir certaines facilités aux investisseurs italiens, notamment l’octroi des terrains pour l’implantation des équipements.
«Le Congo a toujours été une terre d’investissement pour l’Italie. Il est question de redonner espoir à cette relation économique qui date des années 60 et qui a été relancée au plus haut niveau des deux Etats, lors de la visite de travail du Premier ministre italien à Brazzaville en juillet 2014 », a déclaré Jean Jacques Bouya.
Hormis la signature de cet accord, les hommes d’affaires italiens ont eu droit à une présentation des opportunités d’investissement qu’offre le Congo. La plupart d’entre eux ont résolu d’effectuer une visite dans les prochains jours au Congo.
Pour le vice-ministre italien, «la signature de cet accord nous donne l’occasion de passer à la mise en œuvre concrète de la volonté des dirigeants de l’Italie et du Congo».
Au cours de son séjour à Rome, le ministre chargé de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux s’est entretenu avec des responsables des sociétés italiennes désireux d’investir au Congo. C’est notamment le cas de la société des chemins de fer italiens, Astaldi et Elvi.
Le texte prévoit l’aménagement et la construction d’une ville moderne d’environ 6000 logements à Kintélé, dans la banlieue nord de la capitale congolaise.
En outre, cet accord prévoit l’ouverture imminente d’un bureau économique à l’ambassade de l’Italie au Congo, la formation des cadres congolais dans les domaines variés de l’ingénierie, ainsi que la construction d’une cimenterie italienne au Congo.
L’Etat congolais est, pour sa part, appelé à garantir certaines facilités aux investisseurs italiens, notamment l’octroi des terrains pour l’implantation des équipements.
«Le Congo a toujours été une terre d’investissement pour l’Italie. Il est question de redonner espoir à cette relation économique qui date des années 60 et qui a été relancée au plus haut niveau des deux Etats, lors de la visite de travail du Premier ministre italien à Brazzaville en juillet 2014 », a déclaré Jean Jacques Bouya.
Hormis la signature de cet accord, les hommes d’affaires italiens ont eu droit à une présentation des opportunités d’investissement qu’offre le Congo. La plupart d’entre eux ont résolu d’effectuer une visite dans les prochains jours au Congo.
Pour le vice-ministre italien, «la signature de cet accord nous donne l’occasion de passer à la mise en œuvre concrète de la volonté des dirigeants de l’Italie et du Congo».
Au cours de son séjour à Rome, le ministre chargé de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux s’est entretenu avec des responsables des sociétés italiennes désireux d’investir au Congo. C’est notamment le cas de la société des chemins de fer italiens, Astaldi et Elvi.
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