Même les extrémistes les plus reconnus sur les bancs de la mouvance présidentielle ne s’y étaient jamais essayé. Ils se sont toujours réservés de se prononcer sur l’éventualité même d’un troisième mandat du président Condé en 2020.
Lui-même n’a pas clairement défini sa position sur cette question. Le directeur général de la police, qui semble tellement sûr de lui, est allé jusqu'à déclarer que : « Tant qu’Alpha Condé est en vie, il sera le président de la Guinée», et il croit fermement qu’il restera à son poste tant que le président Condé dirigera aux destinés de la Guinée, et que seul la mort de ce dernier, d’après ses propos, pourrait l’y évincer ». Ces propos relayés par nos confrères de Guineenews font tout simplement froid dans le dos.
Les opposants aux régimes qui se sont réunis vendredi dernier, ont condamné ces propos, et appelé le président à démettre Bangaly Kourouma de ses fonctions. Mais au-delà, les propos tenus par ce dernier qui, de surcroit est un haut responsable de la police guinéenne, sont inquiétants. Avec des prises de position clairement partisanes, l’avenir ne présage rien de bon pour un pays qui, en permanence, est englué dans des scrutins interminables aux relents divisionnistes et sectaristes.
Dans un Etat normal, il aurait été poussé à la démission par sa hiérarchie, mais cela fait bientôt une semaine que ces propos qui remettent en cause le principe démocratique ont été tenus, mais l’auteur est toujours en poste. Pas de condamnation officielle. Y-a-t-il un consentement du régime à ces propos ? L’on s’interroge encore !
Lui-même n’a pas clairement défini sa position sur cette question. Le directeur général de la police, qui semble tellement sûr de lui, est allé jusqu'à déclarer que : « Tant qu’Alpha Condé est en vie, il sera le président de la Guinée», et il croit fermement qu’il restera à son poste tant que le président Condé dirigera aux destinés de la Guinée, et que seul la mort de ce dernier, d’après ses propos, pourrait l’y évincer ». Ces propos relayés par nos confrères de Guineenews font tout simplement froid dans le dos.
Les opposants aux régimes qui se sont réunis vendredi dernier, ont condamné ces propos, et appelé le président à démettre Bangaly Kourouma de ses fonctions. Mais au-delà, les propos tenus par ce dernier qui, de surcroit est un haut responsable de la police guinéenne, sont inquiétants. Avec des prises de position clairement partisanes, l’avenir ne présage rien de bon pour un pays qui, en permanence, est englué dans des scrutins interminables aux relents divisionnistes et sectaristes.
Dans un Etat normal, il aurait été poussé à la démission par sa hiérarchie, mais cela fait bientôt une semaine que ces propos qui remettent en cause le principe démocratique ont été tenus, mais l’auteur est toujours en poste. Pas de condamnation officielle. Y-a-t-il un consentement du régime à ces propos ? L’on s’interroge encore !
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