APA-Conakry (Guinée) - Le gouverneur de Conakry, le général Mathurin Bangoura réclame des moyens au gouvernement pour débarrasser la capitale guinéenne des 1000 tonnes de déchets produites quotidiennement, a-t-on appris de source officielle.
Nommé récemment à ce poste le gouverneur de Conakry s’était fixé principalement deux défis, dont l’assainissement de la cité et la sécurisation des populations et leurs biens.
Mais à l’allure où vont les choses, il peine à débarrasser Conakry de ses déchets devenu un véritable casse-tête
Le général Mathurin Bangoura invoque comme raison à cette situation, le manque de moyens financiers, rappelant que les fonds destinés à l’assainissement de la ville sont gérés par le département de l’Administration du territoire et de la décentralisation.
Avec les ordures qui ne cessent de s’entasser dans les rues de la capitale, depuis que les pluies ont commencé à arroser le littoral, en cette période de grandes pluies, le gouverneur a tiré la sonnette d’alarme, sollicitant l’aide du gouvernement.
Le général Mathurin compte ainsi appliquer une solution immédiate consistant à orienter les déchets vers la nouvelle décharge de la capitale, située à une soixantaine de kilomètres de Conakry, dans la préfecture de Dubréka. La décharge de la Minière située en pleine zone d’habitation, dans la commune de Ratoma, étant saturée.
Acheminer les déchets vers la nouvelle décharge de Kouriya, sera possible avec la mise à contribution des transporteurs privés disposant de camions bennes, utilisés dans le transport de sable destiné à la construction des infrastructures, selon le
gouvernorat.
Il s’agit de sceller un partenariat qui va permettre aux camionneurs de mener leurs activités traditionnelles, à savoir le transport de sable et de graviers, tout en contribuant à débarrasser la capitale de ses déchets.
Les camionneurs iront ainsi sur le site de la décharge avec des ordures, et au retour, ils vont pouvoir transporter du sable ou du gravier, extraits dans la zone abritant ledit site.
Le gouvernorat devra à son tour leur affecter des frais en contrepartie de cette tâche. Ceci en attendant qu’il soit doté de moyens logistiques où que le secteur de la gestion des déchets solides soit confié à un opérateur privé.
Nommé récemment à ce poste le gouverneur de Conakry s’était fixé principalement deux défis, dont l’assainissement de la cité et la sécurisation des populations et leurs biens.
Mais à l’allure où vont les choses, il peine à débarrasser Conakry de ses déchets devenu un véritable casse-tête
Le général Mathurin Bangoura invoque comme raison à cette situation, le manque de moyens financiers, rappelant que les fonds destinés à l’assainissement de la ville sont gérés par le département de l’Administration du territoire et de la décentralisation.
Avec les ordures qui ne cessent de s’entasser dans les rues de la capitale, depuis que les pluies ont commencé à arroser le littoral, en cette période de grandes pluies, le gouverneur a tiré la sonnette d’alarme, sollicitant l’aide du gouvernement.
Le général Mathurin compte ainsi appliquer une solution immédiate consistant à orienter les déchets vers la nouvelle décharge de la capitale, située à une soixantaine de kilomètres de Conakry, dans la préfecture de Dubréka. La décharge de la Minière située en pleine zone d’habitation, dans la commune de Ratoma, étant saturée.
Acheminer les déchets vers la nouvelle décharge de Kouriya, sera possible avec la mise à contribution des transporteurs privés disposant de camions bennes, utilisés dans le transport de sable destiné à la construction des infrastructures, selon le
gouvernorat.
Il s’agit de sceller un partenariat qui va permettre aux camionneurs de mener leurs activités traditionnelles, à savoir le transport de sable et de graviers, tout en contribuant à débarrasser la capitale de ses déchets.
Les camionneurs iront ainsi sur le site de la décharge avec des ordures, et au retour, ils vont pouvoir transporter du sable ou du gravier, extraits dans la zone abritant ledit site.
Le gouvernorat devra à son tour leur affecter des frais en contrepartie de cette tâche. Ceci en attendant qu’il soit doté de moyens logistiques où que le secteur de la gestion des déchets solides soit confié à un opérateur privé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire