L’année scolaire sénégalaise est souvent marquée par des grèves répétitives qui influent grandement sur le quantum horaire et le niveau des élèves.
En effet, l’école sénégalaise souffre d’un ‘‘hypothèque’’ né d’un manque de consensus entre les enseignants et le Gouvernement. Ce qui est à l’origine des grèves cycles qui compromettent l’avenir des élèves du pays. Face à cette situation, le Cercle des amis et défenseurs de l’enfant estime qu’il est urgent de rappeler aux adultes la Convention des droits de l’enfant.
« L’article 3 de la convention des droits de l’enfant parle de l’intérêt supérieur des enfants. En termes clairs, quelle que soit la justesse des revendications des enseignants, elle ne peut laisser en rade l’intérêt supérieur des enfants. Or, avec ces grèves qui perdurent, les intérêts de cette catégorie sociale sont laissés pour compte », lit-on dans un communiqué reçu par Libération.
En effet, pour la Cade, il faut impérativement interroger l’ancien parlementaire docteur-psychologue Oumar Ndoye. Ce dernier, nous apprend-on, avait proposé que le quantum horaire des 900 heures de l’apprenant soit érigé en sanctuaire. Ainsi, le Cade demande le retour de cette dynamique.
« Les députés doivent proposer une loi portant obligation du respect du quantum horaire. Cette loi doit être votée et promulguée pour une application immédiate », a affirmé le Cade qui estime que le vote d’une telle loi permettrait de garantir l’effectivité des 900 heures à l’école. « L’Etat est obligé de sévir pour protéger les intérêts de l’enfant. C’est à cette condition seulement qu’on peut sauver les enfants et l’école », promet-il.
En effet, l’école sénégalaise souffre d’un ‘‘hypothèque’’ né d’un manque de consensus entre les enseignants et le Gouvernement. Ce qui est à l’origine des grèves cycles qui compromettent l’avenir des élèves du pays. Face à cette situation, le Cercle des amis et défenseurs de l’enfant estime qu’il est urgent de rappeler aux adultes la Convention des droits de l’enfant.
« L’article 3 de la convention des droits de l’enfant parle de l’intérêt supérieur des enfants. En termes clairs, quelle que soit la justesse des revendications des enseignants, elle ne peut laisser en rade l’intérêt supérieur des enfants. Or, avec ces grèves qui perdurent, les intérêts de cette catégorie sociale sont laissés pour compte », lit-on dans un communiqué reçu par Libération.
En effet, pour la Cade, il faut impérativement interroger l’ancien parlementaire docteur-psychologue Oumar Ndoye. Ce dernier, nous apprend-on, avait proposé que le quantum horaire des 900 heures de l’apprenant soit érigé en sanctuaire. Ainsi, le Cade demande le retour de cette dynamique.
« Les députés doivent proposer une loi portant obligation du respect du quantum horaire. Cette loi doit être votée et promulguée pour une application immédiate », a affirmé le Cade qui estime que le vote d’une telle loi permettrait de garantir l’effectivité des 900 heures à l’école. « L’Etat est obligé de sévir pour protéger les intérêts de l’enfant. C’est à cette condition seulement qu’on peut sauver les enfants et l’école », promet-il.
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