Ce gouvernement de l’efficacité et du pragmatique, comprend trois ministres d’État et trois ministres délégués. Pour les besoins d’expérience et de maitrise des dossiers, le Premier ministre a reconduit quelques anciens, la rupture voulue ne devant pas être synonyme d’un changement total de l’équipe.
Parmi les anciens ministres reconduits figurent Henri Djombo, devenu ministre d'Etat, ministre de l'Agriculture de l'Elevage et de la Pêche ; Gilbert Ondongo, qui occupe désormais le fauteuil de ministre d'Etat, ministre de l'économie, du développement industriel de la promotion du secteur privé ; Claude Alphonse Silou, élevé au poste de ministre d'Etat, ministre de la construction, de l'urbanisme, de la ville et du cadre de vie.
On retrouve également Raymond Zéphirin Mboulou, Pierre Oba, Jean Marc Thystère Tchikaya, Tchikaya, Jean Jacques Bouya, Jean-Claude Gakosso, Charles Richard Mondjo, Euloge Landry Kolelas, Émile Ouosso, Thierry Moungalla, Gilbert Mokoki, Bruno Jean Richard Itoua, Hellot Matson Mampouya, Pierre Mabiala, Yvonne Adélaïde Mougany, Serge Blaise Zoniaba, Léon Alfred Opimbat, Anatole Collinet Makosso, Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, Josué Rodrigue Ngouonimba.
Quelques ténors du pouvoir, dont quatre ministres d'Etat, ont été sortis de l'équipe, notamment Aimé Emmanuel Yoka, Florent Ntsiba, Isidore Mvouba et Rodolphe Adada. Avec eux : François Ibovi, Emilienne Raoul, Georges Moyen, etc.
Seize personnalités, en majorité jeunes, ont fait leur entrée au gouvernement, dont huit femmes : un record jamais battu au Congo. Parmi les nouveaux, il y a Calixte Ganongo, un technocrate qui vient de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC) ; Nicéphore Antoine Thomas Fila Saint Eudes ; Rosalie Matondo ; Ange Aimé Bininga ; Jacqueline Lydia Mikolo ; Arlette Soudan Nonault ; Leonidas Carel Mottom Mamoni. Alain Akouala Attipault revient à la tête du ministère des Zones Économiques Spéciales.
Dans le but de rendre plus efficace son action, le Premier ministre se fait entourer de deux ministres délégués : Digne Elvis Tsalissan Okombi et Benoit Baty. Charles Nganfouomo quant à lui est ministre délégué auprès du ministre de l'intérieur, de la décentralisation et du développement local, chargé de la décentralisation et du développement local.
Ce gouvernement est appelé à faire preuve d’efficacité et de pragmatisme dans la conduite de son action, c’est-à-dire apporter des solutions concrètes et viables aux légitimes préoccupations des populations, afin de marquer, effectivement, la rupture avec le mauvais passé.
Parmi les anciens ministres reconduits figurent Henri Djombo, devenu ministre d'Etat, ministre de l'Agriculture de l'Elevage et de la Pêche ; Gilbert Ondongo, qui occupe désormais le fauteuil de ministre d'Etat, ministre de l'économie, du développement industriel de la promotion du secteur privé ; Claude Alphonse Silou, élevé au poste de ministre d'Etat, ministre de la construction, de l'urbanisme, de la ville et du cadre de vie.
On retrouve également Raymond Zéphirin Mboulou, Pierre Oba, Jean Marc Thystère Tchikaya, Tchikaya, Jean Jacques Bouya, Jean-Claude Gakosso, Charles Richard Mondjo, Euloge Landry Kolelas, Émile Ouosso, Thierry Moungalla, Gilbert Mokoki, Bruno Jean Richard Itoua, Hellot Matson Mampouya, Pierre Mabiala, Yvonne Adélaïde Mougany, Serge Blaise Zoniaba, Léon Alfred Opimbat, Anatole Collinet Makosso, Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, Josué Rodrigue Ngouonimba.
Quelques ténors du pouvoir, dont quatre ministres d'Etat, ont été sortis de l'équipe, notamment Aimé Emmanuel Yoka, Florent Ntsiba, Isidore Mvouba et Rodolphe Adada. Avec eux : François Ibovi, Emilienne Raoul, Georges Moyen, etc.
Seize personnalités, en majorité jeunes, ont fait leur entrée au gouvernement, dont huit femmes : un record jamais battu au Congo. Parmi les nouveaux, il y a Calixte Ganongo, un technocrate qui vient de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC) ; Nicéphore Antoine Thomas Fila Saint Eudes ; Rosalie Matondo ; Ange Aimé Bininga ; Jacqueline Lydia Mikolo ; Arlette Soudan Nonault ; Leonidas Carel Mottom Mamoni. Alain Akouala Attipault revient à la tête du ministère des Zones Économiques Spéciales.
Dans le but de rendre plus efficace son action, le Premier ministre se fait entourer de deux ministres délégués : Digne Elvis Tsalissan Okombi et Benoit Baty. Charles Nganfouomo quant à lui est ministre délégué auprès du ministre de l'intérieur, de la décentralisation et du développement local, chargé de la décentralisation et du développement local.
Ce gouvernement est appelé à faire preuve d’efficacité et de pragmatisme dans la conduite de son action, c’est-à-dire apporter des solutions concrètes et viables aux légitimes préoccupations des populations, afin de marquer, effectivement, la rupture avec le mauvais passé.
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