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L’expérience commence ici au Burkina Faso. Le programme YouthCom d’ICANN vise à accompagner les pays en développement à avoir une masse critique de futurs leaders avertis de la problématique de la gouvernance de l’internet. Pour le coordonnateur Pierre Ouédraogo, il permettra à la jeunesse de s’initier aux meilleures pratiques internationales et de mieux servir leurs communautés « en faisant des opportunités du numérique des réalités grâce à leur créativité et à leur audace ».
Pour le coordonnateur, l’atelier de Ouagadougou qui se tient du 26 au 27 avril, n’est qu’une introduction qui ne permettra peut-être pas aux participants d’être, en deux jours, des spécialistes de la gouvernance de l’internet, mais ces jeunes dont l’âge est compris entre 18 et 30 ans seront sur « la bonne rampe de lancement qui va les projeter dans l’élite mondiale qui façonne l’internet collectivement dans une démarche multi acteurs sur le modèle de bas en haut ». Ce modèle, rappelle Pierre Ouédraogo, « préfigure la e-démocratie qui sera celle des e-citoyens dans un avenir proche. ».
« Les noms de domaine sont une grosse industrie qui génère des ressources importantes qui font vivre de grandes entreprises dans le monde », soutient le consultant international Pierre Ouédraogo. Et pourtant, déplore Pierre Dandjinou, Vice-président d’ICANN pour l’Afrique, le continent africain n’est pas assez intégré à l’industrie de l’internet, à l’économie numérique. Pour lui, l’Afrique peut rêver d’avoir ses propres moteurs de recherche et ses noms de domaine plutôt que d’enrichir les grandes entreprises étrangères.
Au Burkina Faso, Pierre Ouédraogo reconnait que le nom de domaine .bf est une mine d’or nationale qu’il faut développer pour « affirmer notre identité sur l’internet ». Pour ce faire, l’atelier qui se tiendra du 28 au 29 avril à la suite du YouthCom, sera une opportunité pour les participants d’apprendre à faire un plan d’affaires, organiser leur business autour des noms de domaine et être gagnants au niveau international.
Pour le coordonnateur, l’atelier de Ouagadougou qui se tient du 26 au 27 avril, n’est qu’une introduction qui ne permettra peut-être pas aux participants d’être, en deux jours, des spécialistes de la gouvernance de l’internet, mais ces jeunes dont l’âge est compris entre 18 et 30 ans seront sur « la bonne rampe de lancement qui va les projeter dans l’élite mondiale qui façonne l’internet collectivement dans une démarche multi acteurs sur le modèle de bas en haut ». Ce modèle, rappelle Pierre Ouédraogo, « préfigure la e-démocratie qui sera celle des e-citoyens dans un avenir proche. ».
« Les noms de domaine sont une grosse industrie qui génère des ressources importantes qui font vivre de grandes entreprises dans le monde », soutient le consultant international Pierre Ouédraogo. Et pourtant, déplore Pierre Dandjinou, Vice-président d’ICANN pour l’Afrique, le continent africain n’est pas assez intégré à l’industrie de l’internet, à l’économie numérique. Pour lui, l’Afrique peut rêver d’avoir ses propres moteurs de recherche et ses noms de domaine plutôt que d’enrichir les grandes entreprises étrangères.
Au Burkina Faso, Pierre Ouédraogo reconnait que le nom de domaine .bf est une mine d’or nationale qu’il faut développer pour « affirmer notre identité sur l’internet ». Pour ce faire, l’atelier qui se tiendra du 28 au 29 avril à la suite du YouthCom, sera une opportunité pour les participants d’apprendre à faire un plan d’affaires, organiser leur business autour des noms de domaine et être gagnants au niveau international.
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