Le gouvernement congolais et l’Union européenne ont réitéré leur engagement conjoint à renforcer la gouvernance forestière en République du Congo, conformément aux accords qui lient ces deux partenaires bilatéraux. Ce ferme engagement a été renouvelé à l’occasion du troisième Comité conjoint de mise en œuvre (CCM), de l’accord de partenariat volontaire (APV-Flegt), tenu le 26 novembre.
Ce troisième comité conjoint, coprésidé par le ministre de l’Economie forestière et du développement durable, Henri Djombo, et l’ambassadeur, chef de délégation de l’Union européenne au Congo, Saskia De Lang, a été consacré à l’examen du deuxième Comité conjoint tenu en mai dernier. Cette réunion de haut niveau a permis donc au Congo et à son partenaire stratégique, de faire le bilan à mi-parcours de la mise en œuvre de l’APV, au dernier CCM.
Le bilan de ce deuxième Comité a été jugé positif par les deux parties, au regard des actions menées à ce jour, inscrites dans les recommandations adoptées à l’issue dudit CCM. Magré tout, il a été noté que de nombreux défis restent encore à relever, afin d’asseoir vraisemblablement, la gouvernance forestière en République du Congo.
Ces nombreux défis à relever sont des actions arrêtées lors de la dernière réunion du Comité conjoint, qui n’ont pu être exécutées pour diverses raisons. Ces recommandations spécifiaient entre autres que : l’OI-Flegt devrait fournir une analyse des causes des défauts de conformité constatés ; généraliser l’analyse de l’évolution de ces constats dans le temps ; la partie congolaise doit assurer la mobilisation du budget du secrétariat technique et de la Cellule de la légalité forestière et de la traçabilité (CLFT).
De même, il a été décidé qu’une réunion interministérielle soit organisée, en vue d’identifier une stratégie de mobilisation des fonds d’investissement et de développement des mécanismes pérennes de financement du SIVL. Le CCM définit de nouvelles échéances 2016. Par ailleurs, en vue d’amorcer l’année 2016 avec plus de sérénité et de confiance, le Comité conjoint a défini un certain nombre d’actions à mener, en dépit des avancées constatées sur le terrain.
Ce nouveau canevas décide que le ministère de l’Economie forestière et du développement durable devra transmettre le document de politique forestière au secrétariat général du gouvernement, au plus tard fin janvier 2016. De même, au plus tard fin mars de la même année, le ministère de tutelle devra envoyer le projet de loi portant régime forestier au secrétariat général du gouvernement.
Et au plus tard fin juin 2016, les textes d’application doivent être finalisés par l’assistance technique mobilisée par le PFDE. S’exprimant sur l’usage du bois de conversion, du bois abattu par certaines sociétés privées pour un besoin d’utilité publique, les deux parties ont convenu d’affiner le plus rapidement possible les dispositions de la loi sur cette question, afin de légaliser sa commercialisation, au lieu de le détruire.
Le bilan de ce deuxième Comité a été jugé positif par les deux parties, au regard des actions menées à ce jour, inscrites dans les recommandations adoptées à l’issue dudit CCM. Magré tout, il a été noté que de nombreux défis restent encore à relever, afin d’asseoir vraisemblablement, la gouvernance forestière en République du Congo.
Ces nombreux défis à relever sont des actions arrêtées lors de la dernière réunion du Comité conjoint, qui n’ont pu être exécutées pour diverses raisons. Ces recommandations spécifiaient entre autres que : l’OI-Flegt devrait fournir une analyse des causes des défauts de conformité constatés ; généraliser l’analyse de l’évolution de ces constats dans le temps ; la partie congolaise doit assurer la mobilisation du budget du secrétariat technique et de la Cellule de la légalité forestière et de la traçabilité (CLFT).
De même, il a été décidé qu’une réunion interministérielle soit organisée, en vue d’identifier une stratégie de mobilisation des fonds d’investissement et de développement des mécanismes pérennes de financement du SIVL. Le CCM définit de nouvelles échéances 2016. Par ailleurs, en vue d’amorcer l’année 2016 avec plus de sérénité et de confiance, le Comité conjoint a défini un certain nombre d’actions à mener, en dépit des avancées constatées sur le terrain.
Ce nouveau canevas décide que le ministère de l’Economie forestière et du développement durable devra transmettre le document de politique forestière au secrétariat général du gouvernement, au plus tard fin janvier 2016. De même, au plus tard fin mars de la même année, le ministère de tutelle devra envoyer le projet de loi portant régime forestier au secrétariat général du gouvernement.
Et au plus tard fin juin 2016, les textes d’application doivent être finalisés par l’assistance technique mobilisée par le PFDE. S’exprimant sur l’usage du bois de conversion, du bois abattu par certaines sociétés privées pour un besoin d’utilité publique, les deux parties ont convenu d’affiner le plus rapidement possible les dispositions de la loi sur cette question, afin de légaliser sa commercialisation, au lieu de le détruire.
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