La République du Congo et la République Gabonaise vont dorénavant faire de l’intégration culturelle, l’un des axes prioritaires de leur coopération. La volonté de réaliser ce projet a été exprimée, le 15 septembre 2015 à Brazzaville, lors de l'entretien entre le ministre congolais des Affaires étrangères et de la Coopération, Jean Claude Gakosso, et l’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Gabon au Congo, Barthélemy Ongayi.
S.E. Barthélemy Ongayi et le Ministre Gakosso
Le ministre Gakosso et le diplomate gabonais ont passé en revue la coopération entre leurs deux pays. Ils se sont réjouis de l’excellence des relations qui existent entre le Congo et le Gabon, depuis des décennies.
Le Congo et le Gabon partagent une même histoire, quelques mêmes peuples. Au plan historique, le Gabon faisait partie du Congo français (en 1888), avant de devenir membre de l’Afrique Equatoriale Française (AEF), comme le Congo.
Les deux pays partagent étant une longue frontière de 1.790km, ainsi que plusieurs peuples, notamment les peuples Obamba ou Mbéré (appelés littéralement Mbéti), Téké, Nzabi, Kota, etc. Raison pour laquelle les autorités des deux pays ont toujours appelé à la préservation des liens entre les peuples frères du Congo et du Gabon.
En novembre 2014, le Congo et le Gabon avaient signé deux accords sur des consultations diplomatiques.Les documents ont été paraphés par le ministre congolais sortant des Affaires étrangères, Basile Ikouébé, et son homologue du Gabon, Emmanuel Issozé Ngondet. Au titre du premier accord, les deux Etats s’engageaient à imprimer une nouvelle marche à leur voisinage en organisant des rencontres régulières. Le deuxième accorda permettait aux deux gouvernements d’échanger chaque année dans le cadre des consultations politiques et diplomatiques et de se concerter sur des questions bilatérales et multilatérales.
Pour Jean Claude Gakosso et Barthélemy Ongayi, les deux pays doivent mettre un accent particulier sur l’intégration culturelle pour développer davantage la coopération. L’intégration culturelle est une réalité sociale, avant d'être un modèle politique et diplomatique. Car, l'intégration c’est la capacité et la volonté de vivre ensemble, de participer à la même existence sociale.
Avant de s’entretenir avec le diplomate gabonais, le ministre Gakosso a eu d’abord des entretiens avec les ambassadeurs du Tchad, de l’Angola et de la Guinée Equatoriale. Les entretiens ont porté sur les relations entre le Congo et ces trois pays. A sa sortie d’audience, le diplomate angolais, Fernando Pédro Mavunza, a réitéré l’engagement de son pays de préserver ses liens d’amitié et de coopération avec la République du Congo.
«Les liens d’amitié, de fraternité et de coopération entre le Congo et l’Angola sont à jamais à préserver. Nous disons toujours que les amis de nos amis sont nos amis, les ennemis de nos amis sont nos ennemis. C’est dire que l’Angola et le Congo sont prêts à se porter des soutiens quand la maison de l’autre brûle», a-t-il déclaré.
Le Congo et le Gabon partagent une même histoire, quelques mêmes peuples. Au plan historique, le Gabon faisait partie du Congo français (en 1888), avant de devenir membre de l’Afrique Equatoriale Française (AEF), comme le Congo.
Les deux pays partagent étant une longue frontière de 1.790km, ainsi que plusieurs peuples, notamment les peuples Obamba ou Mbéré (appelés littéralement Mbéti), Téké, Nzabi, Kota, etc. Raison pour laquelle les autorités des deux pays ont toujours appelé à la préservation des liens entre les peuples frères du Congo et du Gabon.
En novembre 2014, le Congo et le Gabon avaient signé deux accords sur des consultations diplomatiques.Les documents ont été paraphés par le ministre congolais sortant des Affaires étrangères, Basile Ikouébé, et son homologue du Gabon, Emmanuel Issozé Ngondet. Au titre du premier accord, les deux Etats s’engageaient à imprimer une nouvelle marche à leur voisinage en organisant des rencontres régulières. Le deuxième accorda permettait aux deux gouvernements d’échanger chaque année dans le cadre des consultations politiques et diplomatiques et de se concerter sur des questions bilatérales et multilatérales.
Pour Jean Claude Gakosso et Barthélemy Ongayi, les deux pays doivent mettre un accent particulier sur l’intégration culturelle pour développer davantage la coopération. L’intégration culturelle est une réalité sociale, avant d'être un modèle politique et diplomatique. Car, l'intégration c’est la capacité et la volonté de vivre ensemble, de participer à la même existence sociale.
Avant de s’entretenir avec le diplomate gabonais, le ministre Gakosso a eu d’abord des entretiens avec les ambassadeurs du Tchad, de l’Angola et de la Guinée Equatoriale. Les entretiens ont porté sur les relations entre le Congo et ces trois pays. A sa sortie d’audience, le diplomate angolais, Fernando Pédro Mavunza, a réitéré l’engagement de son pays de préserver ses liens d’amitié et de coopération avec la République du Congo.
«Les liens d’amitié, de fraternité et de coopération entre le Congo et l’Angola sont à jamais à préserver. Nous disons toujours que les amis de nos amis sont nos amis, les ennemis de nos amis sont nos ennemis. C’est dire que l’Angola et le Congo sont prêts à se porter des soutiens quand la maison de l’autre brûle», a-t-il déclaré.
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