Mauriweb - Cinq mois se sont écoulés depuis que le dossier d’appel d’offres international a été lancé (mars 2015) pour la réalisation des travaux de construction des barrages de Al Ghargua(Assaba), de Morfiya(Ghidimagha) et deBargatani (Hodh Al Gharbi), apprend-on de source autorisée.
Approuvés par la commission sectorielle de passation de marchés publics et par la commission de contrôle, ces trois projets financés sur le budget de l’Etat ont curieusement été annulés en dernière minute par le président de la République, Mohamed Ould Abdelaziz.
Les trois projets avaient attribués à la Snat (barrage Al Ghagua), à un consortium mauritano-soudanaise (barrage Morfiya) et une société mauritanien (barrageBargatani).
Le président Mohamed Ould Abdelaziz aurait expliqué l’annulation de ces projets au profit des bénéficiaires du DAOI par les difficultés financières de certains attributaires.
D’autres sources informées expliquent, par contre, l’annulation par les difficultés posées à l’Etat de mobiliser désormais sur fonds propres les financements nécessaires.
Cette affaire révèle, enfin, les interférences politiques sur les procédures de passation des marchés publics en dépit d’une réglementation des plus importantes pour une véritable transparence à l’accès aux marchés publics.
Approuvés par la commission sectorielle de passation de marchés publics et par la commission de contrôle, ces trois projets financés sur le budget de l’Etat ont curieusement été annulés en dernière minute par le président de la République, Mohamed Ould Abdelaziz.
Les trois projets avaient attribués à la Snat (barrage Al Ghagua), à un consortium mauritano-soudanaise (barrage Morfiya) et une société mauritanien (barrageBargatani).
Le président Mohamed Ould Abdelaziz aurait expliqué l’annulation de ces projets au profit des bénéficiaires du DAOI par les difficultés financières de certains attributaires.
D’autres sources informées expliquent, par contre, l’annulation par les difficultés posées à l’Etat de mobiliser désormais sur fonds propres les financements nécessaires.
Cette affaire révèle, enfin, les interférences politiques sur les procédures de passation des marchés publics en dépit d’une réglementation des plus importantes pour une véritable transparence à l’accès aux marchés publics.
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