Initialement prévue pour le mois de septembre 2015prochain, la fin du programme national ONU-REDD en République du Congo connaitra une rallonge. Finalement, ce programme prendra fin en juillet 2016.
La décision a été prise, le 3 août dernier à Brazzaville, par le comité de pilotage de ce programme. C’était au cours d’une session extraordinaire qui a été présidée par le directeur de cabinet du ministre de l’Economie forestière et du développement durable, Michel Elenga. La prolongation de ce projet permettra de mettre en œuvre et de finaliser les activités prévues. Lesquelles activités seront financées sans fonds complémentaire sur une période de 9 mois, avec le solde de l’enveloppe du financement du programme.
Les membres du comité de pilotage ont fait savoir qu’ils avaient besoin de plus de temps pour achever les activités techniques du programme qui n’ont pas été réalisées. Ils ont indiqué que les fonds proviendront du reliquat du montant de financement destiné pour le programme.
En effet, dans le cadre de sa poursuite de sa politique de lutte contre la déforestation et la dégradation forestière non planifiée et illégale, la République du Congo a besoin d’outils stratégiques et techniques au processus REDD+ : la gestion durable des forêts, la conservation de la biodiversité, l’accroissement des stocks de carbone, la lutte contre la pauvreté, la promotion de l’économie verte, la consolidation de la paix et de la cohésion sociale et de la mobilisation des financements.
Or, la réalisation certaines activités dépendent de la mise en place de la stratégie nationale du processus REDD+. D’où la prolongation de ce programme, fruit de la coopération entre le Congo et les partenaires au développement : Programme des Nations unies pour le développement ‘(PNUD), l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).
Ce programme qui s’inscrit dans le processus REDD+ national, permet au pays d’être prêt à appliquer sa stratégie nationale REDD+. Il vise le suivi de l’évolution de la couverture forestière ; la maîtrise des quantités de gaz carboniques absorbées par les forêts et susceptibles d’être placées sur le marché de carbone.
Les membres du comité de pilotage ont fait savoir qu’ils avaient besoin de plus de temps pour achever les activités techniques du programme qui n’ont pas été réalisées. Ils ont indiqué que les fonds proviendront du reliquat du montant de financement destiné pour le programme.
En effet, dans le cadre de sa poursuite de sa politique de lutte contre la déforestation et la dégradation forestière non planifiée et illégale, la République du Congo a besoin d’outils stratégiques et techniques au processus REDD+ : la gestion durable des forêts, la conservation de la biodiversité, l’accroissement des stocks de carbone, la lutte contre la pauvreté, la promotion de l’économie verte, la consolidation de la paix et de la cohésion sociale et de la mobilisation des financements.
Or, la réalisation certaines activités dépendent de la mise en place de la stratégie nationale du processus REDD+. D’où la prolongation de ce programme, fruit de la coopération entre le Congo et les partenaires au développement : Programme des Nations unies pour le développement ‘(PNUD), l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).
Ce programme qui s’inscrit dans le processus REDD+ national, permet au pays d’être prêt à appliquer sa stratégie nationale REDD+. Il vise le suivi de l’évolution de la couverture forestière ; la maîtrise des quantités de gaz carboniques absorbées par les forêts et susceptibles d’être placées sur le marché de carbone.
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