La société Total E&P Congo, filiale du groupe Total, a organisé, du 18 au 19 juin 2015, à Pointe-Noire, des journées portes-ouvertes aux médias. L’objectif était d’édifier les professionnels de l’information et de la communication, ayant été invités, sur l’essentiel des activités de cette société pétrolière, avec un accent particulier sur le projet Moho Nord.
Pendant les deux jours qu’a duré cette découverte, les professionnels de l’information et de la communication venus de Brazzaville et de Pointe-Noire ont appris le pétrole grâce à Total E&P Congo. La première journée a été consacrée à la présentation de la filiale ; du projet Moho Nord ; du contenu local ; ainsi qu’à des visites sur les sites Yard BosCongo et de la base MHN Friedlander. La présentation de la filiale a été faite par directeur général de Total E&P Congo, Pierre Jessua. Tandis que Yves Duteil, Jean Yves Poulet, Annabelle Moloti et Catherine Sanchez ont présenté respectivement le projet Moho Nord, le bilan et perspectives du projet à l’heure actuelle, la politique environnementale de la filiale, le contenu local.
Les journalistes ont pu retenir de toutes ces communications que Total E&P Congo est entrée dans une nouvelle étape majeure dans la valorisation des ressources de l’offshore profond du Congo. En effet, le projet Moho Nord met en œuvre toutes les expertises capitalisées par le Groupe Total dans ce domaine décisif pour l’avenir énergétique. «Il cible les découvertes non encore exploitées réalisées sur le permis d’exploitation (PEX) Moho Bilondo où la production congolaise en eaux profondes a été lancée par la mise en service du FPU (Floating Production Unit) Alima en 2008», a expliqué Pierre Jessua. Il a fait comprendre que Moho Nord était le fruit d’une stratégie de valorisation optimale de ces ressources. Ce projet allie mise en valeur de nouvelles ressources technologiques et maximisation de la récupération d’hydrocarbures sur un champ mature.
Moho Nord qui conduit au développement simultané d’un projet neuf (Moho Nord) et d’un projet d’augmentation des capacités d’Alima (Moho Phase 1bis), est l’expression de l’ambition affichée par Total E&P Congo, celle de pérenniser sa contribution à l’avenir énergétique du pays : Total E&P Congo est premier opérateur du Congo et partenaire de la croissance énergétique du Congo depuis 1969. Les différents exposés présentés lors de ces journées ont indiqué que la mise en service en 2015 et 2016 de Moho phase 1 bis et Moho Nord marquera une relance de la production opérée de Total E&P Congo : celle-ci sera de plus de 200.000 barils par jour.
Total E&P Congo développe ces champs pétroliers dans le respect des engagements inscrits dans sa stratégie de soutien industriel du pays. La filiale met en œuvre un large transfert de compétences et de technologies afin de créer les conditions d’un accroissement durables compétences, de savoir-faire et de capacités industrielles locales permettant à ces entreprises de participer à l’exploitation du site. Ainsi, il y au 12.000 tonnes de fabrications locales.
En ce qui concerne la sécurité et l’environnement, la filiale place la prévention de tous les risques au cœur de ses activités. L’architecture de Moho Nord a été conçue pour limiter au maximum son empreinte environnementale et pour qu’il n’y ait plus de brûlage de gaz en conditions normales d’opérations. La mise en œuvre de ces meilleures technologies vise à réduire les émissions de gaz liées aux opérations et exportation sur le site de Nkossa des surplus de gaz associé (non utilisés pour le gaz lift). Moho Nord sera le premier développement du Congo à réinjecter la totalité de ses eaux de production dans les réservoirs.
Les journalistes ont pu retenir de toutes ces communications que Total E&P Congo est entrée dans une nouvelle étape majeure dans la valorisation des ressources de l’offshore profond du Congo. En effet, le projet Moho Nord met en œuvre toutes les expertises capitalisées par le Groupe Total dans ce domaine décisif pour l’avenir énergétique. «Il cible les découvertes non encore exploitées réalisées sur le permis d’exploitation (PEX) Moho Bilondo où la production congolaise en eaux profondes a été lancée par la mise en service du FPU (Floating Production Unit) Alima en 2008», a expliqué Pierre Jessua. Il a fait comprendre que Moho Nord était le fruit d’une stratégie de valorisation optimale de ces ressources. Ce projet allie mise en valeur de nouvelles ressources technologiques et maximisation de la récupération d’hydrocarbures sur un champ mature.
Moho Nord qui conduit au développement simultané d’un projet neuf (Moho Nord) et d’un projet d’augmentation des capacités d’Alima (Moho Phase 1bis), est l’expression de l’ambition affichée par Total E&P Congo, celle de pérenniser sa contribution à l’avenir énergétique du pays : Total E&P Congo est premier opérateur du Congo et partenaire de la croissance énergétique du Congo depuis 1969. Les différents exposés présentés lors de ces journées ont indiqué que la mise en service en 2015 et 2016 de Moho phase 1 bis et Moho Nord marquera une relance de la production opérée de Total E&P Congo : celle-ci sera de plus de 200.000 barils par jour.
Total E&P Congo développe ces champs pétroliers dans le respect des engagements inscrits dans sa stratégie de soutien industriel du pays. La filiale met en œuvre un large transfert de compétences et de technologies afin de créer les conditions d’un accroissement durables compétences, de savoir-faire et de capacités industrielles locales permettant à ces entreprises de participer à l’exploitation du site. Ainsi, il y au 12.000 tonnes de fabrications locales.
En ce qui concerne la sécurité et l’environnement, la filiale place la prévention de tous les risques au cœur de ses activités. L’architecture de Moho Nord a été conçue pour limiter au maximum son empreinte environnementale et pour qu’il n’y ait plus de brûlage de gaz en conditions normales d’opérations. La mise en œuvre de ces meilleures technologies vise à réduire les émissions de gaz liées aux opérations et exportation sur le site de Nkossa des surplus de gaz associé (non utilisés pour le gaz lift). Moho Nord sera le premier développement du Congo à réinjecter la totalité de ses eaux de production dans les réservoirs.
Stratégie de soutien au développement industriel du Congo
Et en réponse aux attentes des autorités et populations congolaises, Moho Nord met en place une stratégie engagée de soutien au développement industriel du pays. Tout en développant les capacités industrielles locales durant sa phase de fabrication, le projet met en œuvre un large transfert de compétences et de technologies, afin de créer les conditions d’un accroissement durable des compétences, des savoir-faire et capacités industrielles locales qui permettront à ces entreprises de participer à l’exploitation du site.
Les visites guidées sur les sites de yard Boscongo et la base MHN de yard Friedlander Ilogs ont permis aux journalistes non seulement d’être beaucoup plus édifiés sur le projet Moho Nord, mais aussi et surtout de se rendre compte de l’énorme travail qui se réalise dans ces sites. La société Boscongo emploie 2000 personnes (emplois directs), dont 85,5% de nationaux contre 14,5% d’expatriés. Son activité a créé plus de 6.000 emplois indirects pour les sous-traitants congolais. Quelque 108 commandes ont été passées aux sous-traitants et fournisseurs congolais.
Sur le site de Boscongo, les journalistes ont visité découvert la zone de stockage du matériel destiné au projet Moho Nord. C’est un matériel de qualité supérieure : une grue de 800 tonnes encore en pièces ; des ’’risers’’, une machine de roulage qui n’existe pas encore dans certains pays pétroliers de la sous-région. Les journalistes ont été marqués par le dynamisme des travailleurs et le respect des règles d’hygiènes, sécurité et environnement (HSE).
Le constat a été le même à la base du yard Friedlander Congo. Ce yard d’une superficie de 23.000m2, est doté de machines de haute technologie moderne. Il offre de nombreuses opportunités d’emploi et répond à l’initiative Local Content, avec 94% du personnel local. Les techniques modernes acquises par Friedlander Congo permettent d’augmenter la capacité de production de matériel industriel dans le pays. En effet, Friedlander Congo contribue à l’industrialisation du pays, car cette société constitue un maillon important dans la chaîne du développement du Congo. Le yard de Friendlander Congo permet de conduire techniquement les projets pétroliers Moho Nord et Lianzi. Elle entend dans l’avenir réaliser d’autres champs du Congo.
Le yard de Friedlander Congo donne un accès direct au quai permettant le chargement par ’’supply boat et barges’’. Il dispose d’un atelier de découpe automatique plasma 12.000x3.000x40 ; de trois zones couvertes de fabrication équipées de postes semi-automatiques et automatiques permettant d’assembler 2.000 tonnes par an ; de deux zones de travail de 5000m² ; d’une aire de stockage du matériel de 2.000m² ; d’un bunker pour le contrôle radio ; d’une zone de stockage client.
La manutention est réalisée grâce à une grue à tour de 4 tonnes, 2 ponts roulants et 4 portiques roulants d’une capacité de 15 à 30 tonnes. D’importants travaux de construction de matériel pour le projet Moho Nord se réalisent donc sur cette base. Précisément, Friendlander Congo produit des mudmats, ’’riser protector’’, reservoirs, well jumpers, tuyauteries, modules offshore et subsea. Plus de 305 personnes travaillent dans cette société, dont 25 étrangers seulement. Friedlander Ilogs Congo développe des qualifications de soudage qui n’existent pas ailleurs en Afrique. La société est appelée à construire 800 tonnes de matériel d’ici la fin de l’année. Elle n’a pas d’équivalent en termes de construction de matériel destiné à l’industrie pétrolière. Au nombre des réalisations de Friedlander, on peut citer les 128 LBL pour le projet Moho Nord et le riser protecteur de Subsea 7 pour Chevron pesant 15 tonnes.
Friedlander est une société du groupe français ORTEC (service industrie, énergie et environnement), spécialisée dans les travaux de métallurgie, tuyauterie, soudure et chaudronnerie.
Les visites guidées sur les sites de yard Boscongo et la base MHN de yard Friedlander Ilogs ont permis aux journalistes non seulement d’être beaucoup plus édifiés sur le projet Moho Nord, mais aussi et surtout de se rendre compte de l’énorme travail qui se réalise dans ces sites. La société Boscongo emploie 2000 personnes (emplois directs), dont 85,5% de nationaux contre 14,5% d’expatriés. Son activité a créé plus de 6.000 emplois indirects pour les sous-traitants congolais. Quelque 108 commandes ont été passées aux sous-traitants et fournisseurs congolais.
Sur le site de Boscongo, les journalistes ont visité découvert la zone de stockage du matériel destiné au projet Moho Nord. C’est un matériel de qualité supérieure : une grue de 800 tonnes encore en pièces ; des ’’risers’’, une machine de roulage qui n’existe pas encore dans certains pays pétroliers de la sous-région. Les journalistes ont été marqués par le dynamisme des travailleurs et le respect des règles d’hygiènes, sécurité et environnement (HSE).
Le constat a été le même à la base du yard Friedlander Congo. Ce yard d’une superficie de 23.000m2, est doté de machines de haute technologie moderne. Il offre de nombreuses opportunités d’emploi et répond à l’initiative Local Content, avec 94% du personnel local. Les techniques modernes acquises par Friedlander Congo permettent d’augmenter la capacité de production de matériel industriel dans le pays. En effet, Friedlander Congo contribue à l’industrialisation du pays, car cette société constitue un maillon important dans la chaîne du développement du Congo. Le yard de Friendlander Congo permet de conduire techniquement les projets pétroliers Moho Nord et Lianzi. Elle entend dans l’avenir réaliser d’autres champs du Congo.
Le yard de Friedlander Congo donne un accès direct au quai permettant le chargement par ’’supply boat et barges’’. Il dispose d’un atelier de découpe automatique plasma 12.000x3.000x40 ; de trois zones couvertes de fabrication équipées de postes semi-automatiques et automatiques permettant d’assembler 2.000 tonnes par an ; de deux zones de travail de 5000m² ; d’une aire de stockage du matériel de 2.000m² ; d’un bunker pour le contrôle radio ; d’une zone de stockage client.
La manutention est réalisée grâce à une grue à tour de 4 tonnes, 2 ponts roulants et 4 portiques roulants d’une capacité de 15 à 30 tonnes. D’importants travaux de construction de matériel pour le projet Moho Nord se réalisent donc sur cette base. Précisément, Friendlander Congo produit des mudmats, ’’riser protector’’, reservoirs, well jumpers, tuyauteries, modules offshore et subsea. Plus de 305 personnes travaillent dans cette société, dont 25 étrangers seulement. Friedlander Ilogs Congo développe des qualifications de soudage qui n’existent pas ailleurs en Afrique. La société est appelée à construire 800 tonnes de matériel d’ici la fin de l’année. Elle n’a pas d’équivalent en termes de construction de matériel destiné à l’industrie pétrolière. Au nombre des réalisations de Friedlander, on peut citer les 128 LBL pour le projet Moho Nord et le riser protecteur de Subsea 7 pour Chevron pesant 15 tonnes.
Friedlander est une société du groupe français ORTEC (service industrie, énergie et environnement), spécialisée dans les travaux de métallurgie, tuyauterie, soudure et chaudronnerie.
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