Brazzaville, Congo (CONGOSITE) – Le 4 avril 2015, le personnel de la Présidence de la République a procédé au planting de plus de 28.000 plants d’eucalyptus de type urograndis, clone 18.976. C’était sous la supervision du Secrétaire général de la Présidence de la République, Jean-Baptiste Ondaye.
Au total, 28.560 eucalyptus ont été mis en terre, sur un terrain de 20 hectares au site de Bambou-Mingali, situé à 7km de la route nationale n°2, dans le district d’Ignié, 45km au nord de Brazzaville. Dénommée campagne 2015, l’opération vise à contribuer à la concrétisation du Programme national d’afforestation et reboisement (ProNAR), qui est un projet écologique initié par le gouvernement congolais et qui vise à mettre en place un million d’hectares de plantations forestières et agroforestières à l’horizon 2025.
Cette campagne a mobilisé plus de 500 agents. C’est le deuxième planting organisé par la Présidence de la République. La première campagne avait eu lieu le 21 février 2014, au cours de laquelle 14.280 arbres ont été plantés sur une superficie de 10 hectares. Ces arbres ont déjà atteint en moyenne 6 mètres, selon le superviseur de la cellule des opérations techniques du PRONAR, François Mankessi.
Jean-Baptiste Ondaye a indiqué en substance que la mobilisation de son personnel consiste à répondre à l’initiative du Président de la République, dénommée «campagne des plantations des institutions». Laquelle campagne intègre la stratégie élaborée par la coordination du PRONAR pour sa mise en œuvre.
«Le Programme national d’afforestation et reboisement, cher au chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso, vise la mise en place d’un million d’hectares de plantations forestières et agroforestières à l’horizon 2025, en vue d’accroître les capacités de notre pays à stocker le carbone et à répondre de manière satisfaisante à la demande toujours croissante en produits ligneux, notamment dans les grandes agglomérations de notre pays», a indiqué le secrétaire général de la Présidence de la République.
Sur ce même site de Bambou-Mingali, la coordination nationale REDD a planté, le 7 mars 2015, 14.280 eucalyptus sur 10 hectares, avec l’appui de cinquante habitants du village de Bambou-Mingali. Ces derniers ont été associés pour renforcer les rangs de la CN-REDD, mais surtout pour vivre eux-mêmes cette réalité en plantant les eucalyptus. Ainsi, la réalisation du planting a permis aux populations de Bambou-Mingali de mieux saisir le rôle des forêts dans la contribution à la lutte contre les changements climatiques.
En effet, il est également nécessaire que les populations prennent conscience que planter une forêt permet de réaliser un puits carbone capable de générer à l’avenir des ressources financières. Ces ressources auront lieu dans le cadre des compensations promises par les bailleurs internationaux aux pays forestiers tropicaux qui ont consenti des efforts dans la réduction de leurs émissions et dans l’absorption des gaz à effet de serre.
En dehors de la Coordination nationale REDD, il y a aussi le Comité des femmes leaders du Pool qui a planté des arbres à Bambou Minali. Elles étaient au total 150 femmes à réaliser le planting sur une superficie de 10 hectares. C’était le 3 mai 2014.
Le site de Bambou Mingali est une réserve foncière de l’Etat, d’une superficie de 2.000 hectares.
Le Comité des femmes leaders du pool est la première association qui adhère à la campagne de ‘’planting avec les institutions’’. Toutes les autres associations et ONG sont appelées à y adhérer également.
Cette campagne a mobilisé plus de 500 agents. C’est le deuxième planting organisé par la Présidence de la République. La première campagne avait eu lieu le 21 février 2014, au cours de laquelle 14.280 arbres ont été plantés sur une superficie de 10 hectares. Ces arbres ont déjà atteint en moyenne 6 mètres, selon le superviseur de la cellule des opérations techniques du PRONAR, François Mankessi.
Jean-Baptiste Ondaye a indiqué en substance que la mobilisation de son personnel consiste à répondre à l’initiative du Président de la République, dénommée «campagne des plantations des institutions». Laquelle campagne intègre la stratégie élaborée par la coordination du PRONAR pour sa mise en œuvre.
«Le Programme national d’afforestation et reboisement, cher au chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso, vise la mise en place d’un million d’hectares de plantations forestières et agroforestières à l’horizon 2025, en vue d’accroître les capacités de notre pays à stocker le carbone et à répondre de manière satisfaisante à la demande toujours croissante en produits ligneux, notamment dans les grandes agglomérations de notre pays», a indiqué le secrétaire général de la Présidence de la République.
Sur ce même site de Bambou-Mingali, la coordination nationale REDD a planté, le 7 mars 2015, 14.280 eucalyptus sur 10 hectares, avec l’appui de cinquante habitants du village de Bambou-Mingali. Ces derniers ont été associés pour renforcer les rangs de la CN-REDD, mais surtout pour vivre eux-mêmes cette réalité en plantant les eucalyptus. Ainsi, la réalisation du planting a permis aux populations de Bambou-Mingali de mieux saisir le rôle des forêts dans la contribution à la lutte contre les changements climatiques.
En effet, il est également nécessaire que les populations prennent conscience que planter une forêt permet de réaliser un puits carbone capable de générer à l’avenir des ressources financières. Ces ressources auront lieu dans le cadre des compensations promises par les bailleurs internationaux aux pays forestiers tropicaux qui ont consenti des efforts dans la réduction de leurs émissions et dans l’absorption des gaz à effet de serre.
En dehors de la Coordination nationale REDD, il y a aussi le Comité des femmes leaders du Pool qui a planté des arbres à Bambou Minali. Elles étaient au total 150 femmes à réaliser le planting sur une superficie de 10 hectares. C’était le 3 mai 2014.
Le site de Bambou Mingali est une réserve foncière de l’Etat, d’une superficie de 2.000 hectares.
Le Comité des femmes leaders du pool est la première association qui adhère à la campagne de ‘’planting avec les institutions’’. Toutes les autres associations et ONG sont appelées à y adhérer également.
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