Plus de deux mois après le putsch manqué, la Gambie est toujours dans un climat de terreur et de peur qui anesthésie les populations avides de liberté. Et de changement. Mais, Yaya Jammeh, qui a vacillé le 30 décembre dans son fauteuil de dictateur, a remis le couvercle dans ce pays abandonné à son triste sort.Le temps n'a pas mangé l'affiche. Sourire ravageur, chapelet autour de la main, canne en l'air, Yaya Jammeh invite l'Afrique à respecter les droits de l'homme.
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