z |
Le
09 février 2015, la brigade-ville de Gendarmerie de Boulmiougou est
alertée par un cas de viol sur la personne d’une mineure au quartier
Zagtouli. Une enquête est alors diligentée à cet effet et conduit à
l’interpellation d’un citoyen burkinabé, âgé de 63 ans et résident dans
ledit quartier. Des informations recueillies, il ressort que l’intéresse
mène une vie de débauche avec une préférence pour les filles mineures
(âge variant entre 13 et 16 ans). Haut cadre à la retraite, il
bénéficie aussi des largesses de son fils expatrié en Europe.
Tout commence par des dons de numéraires, de téléphones portables et d’autres présents convoités par les jeunes filles. Une fois appâtées, la victime est conduite dans une luxuriante villa de type duplex spécialement aménagée pour ses parties de plaisir au quartier Zagtouli de Ouagadougou
Le pire c’est est que ce Monsieur est conscient de son statut de séropositif. Nonobstant cela, il s’adonnait à des rapports sexuels non protégés avec ses multiples partenaires dans le but de leur transmettre volontairement sa maladie ; acte prévu et puni par l’article 26 de la loi n°030-2008/AN portant lutte contre le VIH/SIDA et protection des droits des personnes vivant avec le VIH/SIDA.
A l’étape actuelle de l’enquête, la brigade-ville de Gendarmerie de Boulmiougou a dénombré vingt deux (22) victimes qui sont actuellement soumises à des tests en vue de déterminer leurs statuts sérologiques. Cette liste n’est pas exhaustive vu que certaines victimes, craignant d’être stigmatisées ne se sont pas déclarées.
Le présumé coupable a été présenté au parquet et transféré au parquet.
Tout commence par des dons de numéraires, de téléphones portables et d’autres présents convoités par les jeunes filles. Une fois appâtées, la victime est conduite dans une luxuriante villa de type duplex spécialement aménagée pour ses parties de plaisir au quartier Zagtouli de Ouagadougou
Le pire c’est est que ce Monsieur est conscient de son statut de séropositif. Nonobstant cela, il s’adonnait à des rapports sexuels non protégés avec ses multiples partenaires dans le but de leur transmettre volontairement sa maladie ; acte prévu et puni par l’article 26 de la loi n°030-2008/AN portant lutte contre le VIH/SIDA et protection des droits des personnes vivant avec le VIH/SIDA.
A l’étape actuelle de l’enquête, la brigade-ville de Gendarmerie de Boulmiougou a dénombré vingt deux (22) victimes qui sont actuellement soumises à des tests en vue de déterminer leurs statuts sérologiques. Cette liste n’est pas exhaustive vu que certaines victimes, craignant d’être stigmatisées ne se sont pas déclarées.
Le présumé coupable a été présenté au parquet et transféré au parquet.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire