Grâce à l’appui financier de l’ambassade de France, l’association AZUR Développement a créé des guichets uniques à Pointe-Noire et à Nkayi pour la prise en charge des personnes victimes des violences domestiques et sexuelles, précisément aux plans sanitaire et psychologique. Nombreuses personnes félicitent AZUR Développement pour les efforts qu’elle entreprend en faveur des personnes les plus menacées et les plus vulnérables.
C’est d’abord l’ambassadeur de France en République du Congo Jean-Pierre Vidon qui, lors de la visite du guichet de Nkayi, le 30 octobre 2014, saluait les efforts de l’ONG. Il annonçait que malgré une situation budgétaire contrainte, la France entendait poursuivre ses actions en faveur des personnes vivant dans une situation de grande détresse et de grande précarité.
A Pointe-Noire et à Nkayi, plusieurs voix s’accordent à dire ces guichets uniques constituent un outil efficace pour la prise en charge des personnes victimes des violences domestiques et sexuelles. «AZUR Développement est en train de mener une action qui mérite un appui consistant de la part de tout le monde : pouvoirs publics, société civile, communauté internationale, la population, etc. Le projet ’’Accès aux soins, à la justice et à l’appui économique des femmes et des enfants victimes de violences domestiques et sexuelles’’ qu’elle a mis en place un très important», a dit Mme Yvette, l’une des victimes des violences domestiques.
Le projet ’’Accès aux soins, à la justice et à l’appui économique des femmes et des enfants victimes de violences domestiques et sexuelles’’ s’inscrit dans le cadre des activités des associations AZUR Développement, ARIPS et AFDB sur la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles, cible les femmes et filles victimes de violence domestique (battues, injures, menaces, maltraitance, négligence par des proches parents) et victimes de violence sexuelle (viol, viol conjugal, harcèlement sexuel, attouchements sexuels).
Il vise à améliorer le mécanisme d’appui psychologique, médical et juridique aux enfants et femmes victimes de violence sexuelle et domestique à travers la création des guichets uniques ; à renforcer un système communautaire de prise en charge économique des victimes de violences domestiques et sexuelles.
Financé à 80% par l'ambassade de France au Congo et à 20% par l'association Azur développement, le projet a été lancé le 25 février 2014 à Pointe-Noire. L’objectif principal est de contribuer au respect des droits des femmes en République du Congo, précisément dans les villes de Pointe-Noire et de Nkayi.
Les guichets uniques fonctionneront comme un service public accessible à tous. Ils sont animés par des prestataires de plusieurs domaines (psychologues ; officiers de la sécurité civile ; tribunal de grande instance, la police, la gendarmerie, un hôpital) affectés par leurs structures qui se chargeront d'informer, d'orienter les victimes et de suivre leurs dossiers.
Ce projet découle d'un premier sur la cartographie des violences domestiques au Congo, réalisé à Nkayi et à Pointe-Noire avec l’implication des chefs de quartier et de certaines mairies. Celui-ci a abouti à la mise en place d'une plate-forme, d'un site Internet de suivi de cas de violences. Le projet cartographie des violences a permis de se rendre compte des aspects qui empêchent les victimes d'accéder à une prise en charge effective et de sortir de leur calvaire. Il s'agit notamment de l'ignorance de leurs droits, de l'insuffisance et l'inaccessibilité des services de prise en charge en raison des coûts, de leur disparité et de leur éparpillement à différents endroits de la ville ; de la vulnérabilité économique des victimes, aspect qui limite leur accès aux soins de santé et à la justice.
C’est dans le but de remédier à ces aspects et d’améliorer la vie des victimes que le deuxième projet a été conçu et qui rencontre l’assentiment de nombreuses personnes.
A Pointe-Noire et à Nkayi, plusieurs voix s’accordent à dire ces guichets uniques constituent un outil efficace pour la prise en charge des personnes victimes des violences domestiques et sexuelles. «AZUR Développement est en train de mener une action qui mérite un appui consistant de la part de tout le monde : pouvoirs publics, société civile, communauté internationale, la population, etc. Le projet ’’Accès aux soins, à la justice et à l’appui économique des femmes et des enfants victimes de violences domestiques et sexuelles’’ qu’elle a mis en place un très important», a dit Mme Yvette, l’une des victimes des violences domestiques.
Le projet ’’Accès aux soins, à la justice et à l’appui économique des femmes et des enfants victimes de violences domestiques et sexuelles’’ s’inscrit dans le cadre des activités des associations AZUR Développement, ARIPS et AFDB sur la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles, cible les femmes et filles victimes de violence domestique (battues, injures, menaces, maltraitance, négligence par des proches parents) et victimes de violence sexuelle (viol, viol conjugal, harcèlement sexuel, attouchements sexuels).
Il vise à améliorer le mécanisme d’appui psychologique, médical et juridique aux enfants et femmes victimes de violence sexuelle et domestique à travers la création des guichets uniques ; à renforcer un système communautaire de prise en charge économique des victimes de violences domestiques et sexuelles.
Financé à 80% par l'ambassade de France au Congo et à 20% par l'association Azur développement, le projet a été lancé le 25 février 2014 à Pointe-Noire. L’objectif principal est de contribuer au respect des droits des femmes en République du Congo, précisément dans les villes de Pointe-Noire et de Nkayi.
Les guichets uniques fonctionneront comme un service public accessible à tous. Ils sont animés par des prestataires de plusieurs domaines (psychologues ; officiers de la sécurité civile ; tribunal de grande instance, la police, la gendarmerie, un hôpital) affectés par leurs structures qui se chargeront d'informer, d'orienter les victimes et de suivre leurs dossiers.
Ce projet découle d'un premier sur la cartographie des violences domestiques au Congo, réalisé à Nkayi et à Pointe-Noire avec l’implication des chefs de quartier et de certaines mairies. Celui-ci a abouti à la mise en place d'une plate-forme, d'un site Internet de suivi de cas de violences. Le projet cartographie des violences a permis de se rendre compte des aspects qui empêchent les victimes d'accéder à une prise en charge effective et de sortir de leur calvaire. Il s'agit notamment de l'ignorance de leurs droits, de l'insuffisance et l'inaccessibilité des services de prise en charge en raison des coûts, de leur disparité et de leur éparpillement à différents endroits de la ville ; de la vulnérabilité économique des victimes, aspect qui limite leur accès aux soins de santé et à la justice.
C’est dans le but de remédier à ces aspects et d’améliorer la vie des victimes que le deuxième projet a été conçu et qui rencontre l’assentiment de nombreuses personnes.
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