CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE) – Le Président congolais Denis Sassou N’Guesso, a reçu en audience, le 3 novembre à Oyo, dans le département d’Oyo, le représentant personnel du Premier ministre Canadien pour la Francophonie, Philippe Beaulne.
Le Président, Denis Sassou N’Guesso et Philippe Beaulne
« Je suis le représentant spécial du Premier ministre du Canada pour la Francophonie, Stephen Harper. Avec le Président Denis Sassou N’Guesso, nous avons discuté du prochain Sommet de l’organisation internationale de la Francophonie (OIF) qui se tiendra à la fin du mois de novembre à Dakar au Sénégal. Ce sera un sommet où d’importants sujets seront discutés comme des décisions sur la prochaine programmation, la prochaine carte décennale et également plusieurs autres sujets», a déclaré Philippe Beaulne.
«Nous avons eu des entretiens très fructueuses. Comme vous le savez, il y a plusieurs candidats, Congolais et Canadiens. C’est donc quelque chose qui sera discuté entre les Chefs d’Etats, les gouvernements ainsi que les chefs de délégations lors de ce Sommet », a dit Philippe Beaulne.
Concernant la préservation de l’environnement, Philippe Beaulne a fait savoir que celle-ci est une chose importante, notamment la question de reforestation. Le Canada est toujours en faveur de tous les efforts de reforestation, a-t-il rassuré.
En effet au cours de ce sommet, les pays ayant en partage la langue française éliront le nouveau secrétaire général qui succèdera à Abdou Diouf. Le Congo a positionné Henri Lopez, son ambassadeur en poste à Paris, pour briquer ce poste de secrétaire général. Henri Lopes est ambassadeur de la République du Congo à Paris depuis 1998. Il avait affronté Abdou Diouf en 2002.
Les relations entre le Canada et la République du Congo sont très limitées. Le Canada encourage la République du Congo vers la réconciliation nationale, le renforcement des valeurs démocratiques, des droits de la personne, ainsi que de la bonne gouvernance.
Le Canada appuie la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), une importante organisation régionale permettant le dialogue entre les pays de la région et la mise en œuvre de solutions durables en faveur de la paix, de la sécurité et de la stabilité.
Le Canada encourage les efforts de la République du Congo à mettre en œuvre des éléments du Pacte sur la sécurité, la stabilité et le développement de la CIRGL, notamment le mécanisme régional de certification des minerais.
En janvier 2010, la Banque mondiale et le FMI ont convenu de l’éligibilité de la République du Congo à l’allègement de l’encours de la dette dans le cadre de l’Initiative améliorée en faveur des pays pauvres très endettés PPTE. En 2010, le Canada a annulé des créances de près de 24 millions de dollars qui lui étaient dues par la République du Congo, dans le cadre de l’Initiative canadienne d’allègement de la dette (ICAD).
Le Canada est membre du Partenariat pour les Forêts du Bassin du Congo (PFBC) dont l’objectif est la mise en œuvre renforcée du plan d’action de la Commission des forêts d’Afrique centrale (COMIFAC) pour la conservation et la gestion durable des écosystèmes forestiers du bassin du Congo. La République du Congo est membre du PFBC et de la COMIFAC.
Un climat de bonne gouvernance et des initiatives de diversification économique seraient de nature à favoriser l’émergence d’opportunités commerciales en République du Congo. Toutefois, à l’heure actuelle, peu d’entreprises canadiennes investissent en République du Congo et les échanges commerciaux sont limités.
«Nous avons eu des entretiens très fructueuses. Comme vous le savez, il y a plusieurs candidats, Congolais et Canadiens. C’est donc quelque chose qui sera discuté entre les Chefs d’Etats, les gouvernements ainsi que les chefs de délégations lors de ce Sommet », a dit Philippe Beaulne.
Concernant la préservation de l’environnement, Philippe Beaulne a fait savoir que celle-ci est une chose importante, notamment la question de reforestation. Le Canada est toujours en faveur de tous les efforts de reforestation, a-t-il rassuré.
En effet au cours de ce sommet, les pays ayant en partage la langue française éliront le nouveau secrétaire général qui succèdera à Abdou Diouf. Le Congo a positionné Henri Lopez, son ambassadeur en poste à Paris, pour briquer ce poste de secrétaire général. Henri Lopes est ambassadeur de la République du Congo à Paris depuis 1998. Il avait affronté Abdou Diouf en 2002.
Les relations entre le Canada et la République du Congo sont très limitées. Le Canada encourage la République du Congo vers la réconciliation nationale, le renforcement des valeurs démocratiques, des droits de la personne, ainsi que de la bonne gouvernance.
Le Canada appuie la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), une importante organisation régionale permettant le dialogue entre les pays de la région et la mise en œuvre de solutions durables en faveur de la paix, de la sécurité et de la stabilité.
Le Canada encourage les efforts de la République du Congo à mettre en œuvre des éléments du Pacte sur la sécurité, la stabilité et le développement de la CIRGL, notamment le mécanisme régional de certification des minerais.
En janvier 2010, la Banque mondiale et le FMI ont convenu de l’éligibilité de la République du Congo à l’allègement de l’encours de la dette dans le cadre de l’Initiative améliorée en faveur des pays pauvres très endettés PPTE. En 2010, le Canada a annulé des créances de près de 24 millions de dollars qui lui étaient dues par la République du Congo, dans le cadre de l’Initiative canadienne d’allègement de la dette (ICAD).
Le Canada est membre du Partenariat pour les Forêts du Bassin du Congo (PFBC) dont l’objectif est la mise en œuvre renforcée du plan d’action de la Commission des forêts d’Afrique centrale (COMIFAC) pour la conservation et la gestion durable des écosystèmes forestiers du bassin du Congo. La République du Congo est membre du PFBC et de la COMIFAC.
Un climat de bonne gouvernance et des initiatives de diversification économique seraient de nature à favoriser l’émergence d’opportunités commerciales en République du Congo. Toutefois, à l’heure actuelle, peu d’entreprises canadiennes investissent en République du Congo et les échanges commerciaux sont limités.
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