CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE) - Le ministre délégué à la marine marchande Martin Parfait Aimé Coussoud Mavoungou a indiqué le 30 septembre à Brazzaville que d’ici la fin de cette année, le Congo fera partie des dix Etats africains à avoir ratifié plus de 85% des conventions maritimes de l’Organisation maritime internationale (OMI).
Membre de l’OMI depuis septembre 1975, le Congo figure parmi les rares pays africains à avoir ratifié la majorité des conventions maritimes de cette organisation onusienne. Selon M. Coussoud Mavoungou, sur près de 53 conventions de l’OMI, le Congo a ratifié 34 dont 15 en 2014.
«Actuellement, 10 sont en voie de ratification et couvrent les domaines des aides à la navigation, des services de signalisation maritime, des systèmes de trafic maritime, des cartes électroniques de navigation et des renseignements sur la sécurité et la sûreté maritimes, la gestion des déchets, ainsi que la lutte contre la piraterie maritime», a-t-il déclaré.
Le ministre délégué à la marine marchande a précisé que «notre pays sera avant la fin de l’année 2014 dans le peloton des 30 Etats sur 173 Etats membres de l’OMI et parmi les 10 Etats africains à avoir ratifié plus de 85% des conventions maritimes de l’OMI : il est de bon aloi que l’on s’en félicite».
Il s’est adressé dans le cadre de la journée mondiale de la mer, célébrée chaque année, dans la dernière semaine du mois de septembre. Cette année, le thème retenu est : «Conventions de l’OMI : application efficace». Ce thème souligne l’importance de la mise en œuvre des conventions maritimes pour la prévention des accidents et la protection de l’environnement marin.
M. Coussoud Mavoungou a fait observer que certaines conventions faisaient «l’objet d’une ratification trop lente ou sont peu appliquées, ce qui donne matière à préoccupation». Il reconnaît que la plupart des conventions de l’OMI sont en vigueur et ont contribué à faire accepter des normes les plus élevées en matière de sécurité et de sûreté maritimes et de préservation de la qualité des eaux.
Le Congo possède l’un des ports maritimes les plus importants en eau profonde dans la sous-région d’Afrique centrale, voire même de la côte atlantique de l’Afrique. Il assure actuellement la vice-présidence de l’Organisation maritime d’Afrique de l’ouest et du centre (OMAOC), la présidence du Mémorandum d’entente sur le contrôle des navires par l’Etat du port dans la région d’Afrique de l’ouest et du centre (Mou d’Abuja), ainsi que la présidence du conseil d’administration de l’Académie régionale des sciences et techniques de la mer (ARSTM) d’Abidjan.
Le ministre délégué à la marine marchande a, par ailleurs, demandé aux opérateurs maritimes d’accompagner la direction générale de la marine marchande dans la mise en œuvre et l’application des conventions maritimes ratifiées par le Congo.
«Désormais nos attitudes et les comportements à mettre en avant vis-à-vis des navires, des ports et des gens de mer sont à changer dans un mécanisme d’application efficace à l’échelle nationale, des instruments pertinents des conventions et du code de la marine marchande de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC)», a-t-il lancé.
«Actuellement, 10 sont en voie de ratification et couvrent les domaines des aides à la navigation, des services de signalisation maritime, des systèmes de trafic maritime, des cartes électroniques de navigation et des renseignements sur la sécurité et la sûreté maritimes, la gestion des déchets, ainsi que la lutte contre la piraterie maritime», a-t-il déclaré.
Le ministre délégué à la marine marchande a précisé que «notre pays sera avant la fin de l’année 2014 dans le peloton des 30 Etats sur 173 Etats membres de l’OMI et parmi les 10 Etats africains à avoir ratifié plus de 85% des conventions maritimes de l’OMI : il est de bon aloi que l’on s’en félicite».
Il s’est adressé dans le cadre de la journée mondiale de la mer, célébrée chaque année, dans la dernière semaine du mois de septembre. Cette année, le thème retenu est : «Conventions de l’OMI : application efficace». Ce thème souligne l’importance de la mise en œuvre des conventions maritimes pour la prévention des accidents et la protection de l’environnement marin.
M. Coussoud Mavoungou a fait observer que certaines conventions faisaient «l’objet d’une ratification trop lente ou sont peu appliquées, ce qui donne matière à préoccupation». Il reconnaît que la plupart des conventions de l’OMI sont en vigueur et ont contribué à faire accepter des normes les plus élevées en matière de sécurité et de sûreté maritimes et de préservation de la qualité des eaux.
Le Congo possède l’un des ports maritimes les plus importants en eau profonde dans la sous-région d’Afrique centrale, voire même de la côte atlantique de l’Afrique. Il assure actuellement la vice-présidence de l’Organisation maritime d’Afrique de l’ouest et du centre (OMAOC), la présidence du Mémorandum d’entente sur le contrôle des navires par l’Etat du port dans la région d’Afrique de l’ouest et du centre (Mou d’Abuja), ainsi que la présidence du conseil d’administration de l’Académie régionale des sciences et techniques de la mer (ARSTM) d’Abidjan.
Le ministre délégué à la marine marchande a, par ailleurs, demandé aux opérateurs maritimes d’accompagner la direction générale de la marine marchande dans la mise en œuvre et l’application des conventions maritimes ratifiées par le Congo.
«Désormais nos attitudes et les comportements à mettre en avant vis-à-vis des navires, des ports et des gens de mer sont à changer dans un mécanisme d’application efficace à l’échelle nationale, des instruments pertinents des conventions et du code de la marine marchande de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC)», a-t-il lancé.
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