Le
Cap-Vert a sollicité au Fonds global, un financement de 20 millions
d'escudos cap-verdiens (environ 182.000 euros) pour mettre en oeuvre son
projet d’éradication du paludisme, a appris, jeudi, la PANA de source
officielle.
Selon cette source, le gouvernement et la coordination du Fonds global travaillent sur l’élaboration d’une proposition de lutte contre le paludisme, en vue d’identifier les interventions les plus efficaces pour l’éradication de la maladie.
A cet effet, souligne la source, il faut l’implication des mairies, du ministère de l’Environnement et de la société, en général.
Les autorités sanitaires ont visité les quartiers les plus vulnérables de Praia pour évaluer les mesures préventives en cours, avant la période des pluies, ainsi que le fonctionnement de ses structures et s’enquérir des préoccupations de la population.
Chaque année, avant la période des pluies, le gouvernement applique le programme de prévention des maladies transmises par des moustiques, notamment le paludisme.
Toutefois, les autorités avertissent que, malgré les interventions sur le terrain de la Direction de la Santé et des Forces armées, le scénario est loin du souhaitable et que les mesures adoptées “ne sont pas suffisantes” pour éliminer tous les foyers de prolifération des moustiques.
De ce fait, la population et les autorités municipales ont été appelées à collaborer avec les structures de santé pour qu’ensemble ils arrivent à lutter et à éradiquer le paludisme et la dengue au Cap-Vert.
Le Cap-Vert est en train de relever avec détermination le défi lancé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et a enregistré un taux de un cas pour chaque mille habitants depuis 2012, ce qui met déjà le Cap-Vert dans la phase de 'pré-élimination' de la maladie.
Des statistiques de 1991 à 2011 indiquent la réduction, au niveau national, de 74 cas en 1991 (18 importés et 56 autochtones) et de 127 cas en 1995 (20 importés et 107 autochtones).
En 2011, 36 cas ont été enregistrés, dont 7 autochtones et 29 importés.
Cette année, 11 cas de paludisme ont déjà été détectés, dont cinq autochtones, dans les quartiers les plus problématiques de Tira Chapéu, Fontom et Varzea; et six importés.
Selon cette source, le gouvernement et la coordination du Fonds global travaillent sur l’élaboration d’une proposition de lutte contre le paludisme, en vue d’identifier les interventions les plus efficaces pour l’éradication de la maladie.
A cet effet, souligne la source, il faut l’implication des mairies, du ministère de l’Environnement et de la société, en général.
Les autorités sanitaires ont visité les quartiers les plus vulnérables de Praia pour évaluer les mesures préventives en cours, avant la période des pluies, ainsi que le fonctionnement de ses structures et s’enquérir des préoccupations de la population.
Chaque année, avant la période des pluies, le gouvernement applique le programme de prévention des maladies transmises par des moustiques, notamment le paludisme.
Toutefois, les autorités avertissent que, malgré les interventions sur le terrain de la Direction de la Santé et des Forces armées, le scénario est loin du souhaitable et que les mesures adoptées “ne sont pas suffisantes” pour éliminer tous les foyers de prolifération des moustiques.
De ce fait, la population et les autorités municipales ont été appelées à collaborer avec les structures de santé pour qu’ensemble ils arrivent à lutter et à éradiquer le paludisme et la dengue au Cap-Vert.
Le Cap-Vert est en train de relever avec détermination le défi lancé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et a enregistré un taux de un cas pour chaque mille habitants depuis 2012, ce qui met déjà le Cap-Vert dans la phase de 'pré-élimination' de la maladie.
Des statistiques de 1991 à 2011 indiquent la réduction, au niveau national, de 74 cas en 1991 (18 importés et 56 autochtones) et de 127 cas en 1995 (20 importés et 107 autochtones).
En 2011, 36 cas ont été enregistrés, dont 7 autochtones et 29 importés.
Cette année, 11 cas de paludisme ont déjà été détectés, dont cinq autochtones, dans les quartiers les plus problématiques de Tira Chapéu, Fontom et Varzea; et six importés.
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Le
Cap-Vert a sollicité au Fonds global, un financement de 20 millions
d'escudos cap-verdiens (environ 182.000 euros) pour mettre en oeuvre son
projet d’éradication du paludisme, a appris, jeudi, la PANA de source
officielle. Selon cette source, le gouvernement et la coordination du
Fonds global travaillent sur l’élaboration d’une proposition de lutte
contre le paludisme, en vue d’identifier les interventions les plus
efficaces pour l’éradication de la maladie. A cet effet, souligne la
source, il faut l’implication des mairies,
Le
Cap-Vert a sollicité au Fonds global, un financement de 20 millions
d'escudos cap-verdiens (environ 182.000 euros) pour mettre en oeuvre son
projet d’éradication du paludisme, a appris, jeudi, la PANA de source
officielle.
Selon cette source, le gouvernement et la coordination du Fonds global travaillent sur l’élaboration d’une proposition de lutte contre le paludisme, en vue d’identifier les interventions les plus efficaces pour l’éradication de la maladie.
A cet effet, souligne la source, il faut l’implication des mairies, du ministère de l’Environnement et de la société, en général.
Les autorités sanitaires ont visité les quartiers les plus vulnérables de Praia pour évaluer les mesures préventives en cours, avant la période des pluies, ainsi que le fonctionnement de ses structures et s’enquérir des préoccupations de la population.
Chaque année, avant la période des pluies, le gouvernement applique le programme de prévention des maladies transmises par des moustiques, notamment le paludisme.
Toutefois, les autorités avertissent que, malgré les interventions sur le terrain de la Direction de la Santé et des Forces armées, le scénario est loin du souhaitable et que les mesures adoptées “ne sont pas suffisantes” pour éliminer tous les foyers de prolifération des moustiques.
De ce fait, la population et les autorités municipales ont été appelées à collaborer avec les structures de santé pour qu’ensemble ils arrivent à lutter et à éradiquer le paludisme et la dengue au Cap-Vert.
Le Cap-Vert est en train de relever avec détermination le défi lancé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et a enregistré un taux de un cas pour chaque mille habitants depuis 2012, ce qui met déjà le Cap-Vert dans la phase de 'pré-élimination' de la maladie.
Des statistiques de 1991 à 2011 indiquent la réduction, au niveau national, de 74 cas en 1991 (18 importés et 56 autochtones) et de 127 cas en 1995 (20 importés et 107 autochtones).
En 2011, 36 cas ont été enregistrés, dont 7 autochtones et 29 importés.
Cette année, 11 cas de paludisme ont déjà été détectés, dont cinq autochtones, dans les quartiers les plus problématiques de Tira Chapéu, Fontom et Varzea; et six importés.
Selon cette source, le gouvernement et la coordination du Fonds global travaillent sur l’élaboration d’une proposition de lutte contre le paludisme, en vue d’identifier les interventions les plus efficaces pour l’éradication de la maladie.
A cet effet, souligne la source, il faut l’implication des mairies, du ministère de l’Environnement et de la société, en général.
Les autorités sanitaires ont visité les quartiers les plus vulnérables de Praia pour évaluer les mesures préventives en cours, avant la période des pluies, ainsi que le fonctionnement de ses structures et s’enquérir des préoccupations de la population.
Chaque année, avant la période des pluies, le gouvernement applique le programme de prévention des maladies transmises par des moustiques, notamment le paludisme.
Toutefois, les autorités avertissent que, malgré les interventions sur le terrain de la Direction de la Santé et des Forces armées, le scénario est loin du souhaitable et que les mesures adoptées “ne sont pas suffisantes” pour éliminer tous les foyers de prolifération des moustiques.
De ce fait, la population et les autorités municipales ont été appelées à collaborer avec les structures de santé pour qu’ensemble ils arrivent à lutter et à éradiquer le paludisme et la dengue au Cap-Vert.
Le Cap-Vert est en train de relever avec détermination le défi lancé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et a enregistré un taux de un cas pour chaque mille habitants depuis 2012, ce qui met déjà le Cap-Vert dans la phase de 'pré-élimination' de la maladie.
Des statistiques de 1991 à 2011 indiquent la réduction, au niveau national, de 74 cas en 1991 (18 importés et 56 autochtones) et de 127 cas en 1995 (20 importés et 107 autochtones).
En 2011, 36 cas ont été enregistrés, dont 7 autochtones et 29 importés.
Cette année, 11 cas de paludisme ont déjà été détectés, dont cinq autochtones, dans les quartiers les plus problématiques de Tira Chapéu, Fontom et Varzea; et six importés.
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