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jeudi 31 juillet 2014

Journée de la femme africaine : l’éducation des femmes aux sciences et aux technologies est indispensable au développement des pays

La ministre de la Promotion de la femme et de l'Intégration de la femme au développement, Catherine Embondza Lipiti, a invité les femmes et filles d’Afrique et du Congo à s’intéresser à l’éducation, aux sciences et aux nouvelles technologies

La ministre leur a adressé, le 30 juillet à Brazzaville, un message à l’occasion de la célébration, le 31 juillet de chaque année, de la Journée de la femme africaine.
Le thème retenu cette année — « le rôle des femmes et des filles dans l’éducation, les sciences et les nouvelles technologies en vue d’une renaissance africaine » — vise à consolider les acquis de leur lutte pour la conquête de leurs droits fondamentaux et à réunir les femmes de tous les pays d’Afrique autour de l’idéal d’égalité, de développement et de paix.
Cette journée permettra de mettre l’accent sur la participation effective et responsable des femmes africaines au développement socio-économique et culturel de leur pays et sur l’élimination de toutes formes de discrimination à leur égard.
« Le maintien des filles dans le système éducatif, l’orientation des filles vers les carrières scientifiques, la facilitation de l’accès aux nouvelles technologies sont là autant de défis à relever dans le contexte de la renaissance africaine. L’éducation des filles et des femmes est donc à la fois une question de justice et d’égalité, dans l’intérêt bien compris d’une politique de développement efficace », a souligné la ministre dans son message.
Catherine Embondza Lipiti a remercié tous les partenaires de leur appui multiforme aux actions du gouvernement en faveur des femmes et filles congolaises pour garantir leur accès à l’éducation, à la formation à la science et à la technologie.
Rappelons que le thème de la Journée de la femme africaine fait écho à celui de la Journée internationale de la femme du 8 mars 2011, célébrée sur le thème : « égalité d’accès à l’éducation, à la formation, à la science et à la technologie : la voie vers un travail décent pour les femmes ».
Pour l’Organisation panafricaine des femmes, l’éducation scientifique des femmes et des filles et leur maîtrise des nouvelles technologies sont capitales et indispensables au développement de l’Afrique dans le contexte de la mondialisation.
Lydie Gisèle OKO

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