Une centrale solaire.
Samedi, la mise en service de la centrale solaire Senergy II de Bokhol (d'une capacité de 20 mégawatts), à 400 km au nord de Dakar dans la région de Saint-Louis, signe l’acte I de la politique de mix énergétique du gouvernement de Macky Sall — alors que les centrales déjà en activité fonctionnent largement au moyen d'hydrocarbures. L’infrastructure a coûté 17 milliards de F CFA (25,9 millions d'euros). Elle est, temporairement, la plus importante en Afrique de l'Ouest avant que d'autres, dont l'ouverture est prévue pour bientôt, ne la supplantent. Le Sénégal inaugure de manière concrète sa nouvelle politique de mix énergétique qui vise à introduire 20% d’énergies renouvelables dans les capacités nationales de production d’ici à 2017 — pour l’heure très tributaires des hydrocarbures.
La mise en service samedi 22 octobre dernier de la centrale solaire photovoltaïque (d’une capacité de 20 mégawatts) de Bokhol est un premier pas. Avec ses 77 000 panneaux solaires installés sur 50 hectares, elle est présentée par ses promoteurs comme étant la première du genre en activité en Afrique de l’ouest. Les travaux de construction avaient été engagées en mai. Elle doit alimenter 9 000 ménages en électricité.
La mise en service samedi 22 octobre dernier de la centrale solaire photovoltaïque (d’une capacité de 20 mégawatts) de Bokhol est un premier pas. Avec ses 77 000 panneaux solaires installés sur 50 hectares, elle est présentée par ses promoteurs comme étant la première du genre en activité en Afrique de l’ouest. Les travaux de construction avaient été engagées en mai. Elle doit alimenter 9 000 ménages en électricité.
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