Mme Malado Kaba, ministre guinéenne de l’Economie et des finances et l’ambassadeur de France en Guinée et en Sierra Léone, Bertrand Cochery
Le gouvernement guinéen, à travers le ministre de l’économie et des finances et son homologue du budget, a paraphé ce lundi, avec l’agence française de développement accompagnée par l’ambassade de France, un contrat de désendettement et de développement pour donner un second souffle à l’économie guinéenne affaiblie par la crise Ebola.
Estimé à 91 millions d’euros et couvrant la période 2016-2021, ce contrat en abrégé C2D est la suite d’un premier de 75 millions d’euros qui avait été paraphé et qui s’étendait de 2013 à 2016 pour assister la Guinée à supporter des charges liées à son développement, à faire face à la crise Ebola et aussi dans le cadre du point d’achèvement de l’initiative PPTE.
Dans son discours, Bertrand Cochery, ambassadeur de la France en Guinée et en Sierra Léone a souligné que la signature de ce second C2D exprime plus que jamais le soutien de la France à la Guinée en cette période déterminante de la reconstruction post-Ebola.”
Au nom de l’agence française de développement (AFD), sa directrice Patricia Aubras a félicité les efforts de la Guinée dans le cadre du respect de son engagement pour amortir ses dettes en affirmant: “la Guinée a respecté toutes les échéances de son contrat de désendettement et sur sa dette globale, elle a dores et déjà remboursé à la France 54 millions d’euros.”
Côté gouvernement guinéen, Maladho Kaba ministre des finances a remercié les efforts consentis par la France via sa représentation diplomatique pour la relance post-Ebola tout en mettant un accent particulier sur le rôle joué par son ambassadeur Bertrand Cochery.
Ensuite elle a renchéri: “ce don que nous fait la France nous permet également de financer des secteurs prioritaires importants et ce mécanisme nous encourage à utiliser nos systèmes nationaux et nous oblige à mettre en œuvre des réformes nécessaires à leur amélioration.”
A signaler que cette deuxième partie du contrat de désendettement et de développement C2D qui couvre la période 2016-2021 sera repartie comme suit:
Agriculture et développement rural : 25 millions d’euros; Enseignement technique et formation professionnelle: 20 millions d’euros; Education pré-universitaire: 12, 5 millions d’euros; Développement local: 10 millions d’euros. Une réserve non affectée: 20 millions d’euros.
Estimé à 91 millions d’euros et couvrant la période 2016-2021, ce contrat en abrégé C2D est la suite d’un premier de 75 millions d’euros qui avait été paraphé et qui s’étendait de 2013 à 2016 pour assister la Guinée à supporter des charges liées à son développement, à faire face à la crise Ebola et aussi dans le cadre du point d’achèvement de l’initiative PPTE.
Dans son discours, Bertrand Cochery, ambassadeur de la France en Guinée et en Sierra Léone a souligné que la signature de ce second C2D exprime plus que jamais le soutien de la France à la Guinée en cette période déterminante de la reconstruction post-Ebola.”
Au nom de l’agence française de développement (AFD), sa directrice Patricia Aubras a félicité les efforts de la Guinée dans le cadre du respect de son engagement pour amortir ses dettes en affirmant: “la Guinée a respecté toutes les échéances de son contrat de désendettement et sur sa dette globale, elle a dores et déjà remboursé à la France 54 millions d’euros.”
Côté gouvernement guinéen, Maladho Kaba ministre des finances a remercié les efforts consentis par la France via sa représentation diplomatique pour la relance post-Ebola tout en mettant un accent particulier sur le rôle joué par son ambassadeur Bertrand Cochery.
Ensuite elle a renchéri: “ce don que nous fait la France nous permet également de financer des secteurs prioritaires importants et ce mécanisme nous encourage à utiliser nos systèmes nationaux et nous oblige à mettre en œuvre des réformes nécessaires à leur amélioration.”
A signaler que cette deuxième partie du contrat de désendettement et de développement C2D qui couvre la période 2016-2021 sera repartie comme suit:
Agriculture et développement rural : 25 millions d’euros; Enseignement technique et formation professionnelle: 20 millions d’euros; Education pré-universitaire: 12, 5 millions d’euros; Développement local: 10 millions d’euros. Une réserve non affectée: 20 millions d’euros.
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