Afin d'accomplir les missions et diligenter les urgences dont elle a désormais la responsabilité, la nouvelle ministre de l’Economie forestière et du développement durable, Rosalie Matondo, sollicite le concours des cadres.
Parmi les dossiers urgents de son département on note l’achèvement de l’élaboration de la stratégie nationale de lutte contre l’exploitation illégale et le commerce illicite de la faune et de la flore sauvages d’Afrique. Rappelons que celle-ci a été adoptée par l’Union africaine et remise aux différentes communautés économiques du continent pour se l’approprier et amener les pays à la mettre en œuvre.
« La stratégie nationale devra être disponible dans deux semaines. Il est important de la faire approuver, car les financements internationaux sont déjà mis en place et n’attendent que des projets fondés sur les stratégies nationales », a indiqué, Henri Djombo, à son successeur. Au regard des évolutions intervenues dans le domaine forestier, le ministère avait entamé l’élaboration d’un projet de nouvelles lois et politiques forestières. La stratégie nationale de développement durable suit également le même processus. En vue de leur adoption au niveau du gouvernement, le ministre sortant a rassuré Rosalie Matondo de son soutien.
Afin de relever les nouveaux défis de ce secteur, il va falloir améliorer les outils et instruments nécessaires, à savoir : les ressources humaines, les capacités techniques et surtout les moyens de mise en œuvre de la politique forestière. Conseil d’Henri Djombo à son remplaçant. Remerciant son homologue pour le rapport détaillé, la nouvelle patronne des Forêts a déclaré : « Je mesure le poids de ma responsabilité. Je ne ménagerai aucun effort pour venir vers vous, prendre les conseils qu’il faut même en cas de réformes nécessaires ».
Durant les dix-huit ans à la tête de ce département, le ministre sortant de l’Economie forestière a réalisé beaucoup d’avancées dans ce secteur, 2e ressources économiques du pays, aux nombres desquels on peut citer l’augmentation de la production nationale de 500.000m3 en 1997 à 1.000.700 m3 à nos jours. S’agissant de la production des grumes, de 96.000 m3 de sillages on est passé à 350.000 m3. De zéro hectare de forêt aménagée le pays dispose actuellement de 5.600.000 hectares dont 4.000.000 disposant d’un plan d’aménagement. Deux millions d'hectares sont certifiés FSC, standard le plus rigoureux en matière de certification forestière. Par ailleurs, ayant contribué au développement des standards FSC, le Congo pourrait disposer aussi d’un système national de certification. « Aujourd’hui, nous nous y attelons », a souligné Henri Djombo. Concernant les terres protégées, signalons que de 1.700.000 hectares en 1997, le pays compte présentement 4 millions et demi d’hectares de terres protégées. Un début d’écotouristique au parc national d’Odzala qui représente aujourd’hui, le fleuron de notre patrimoine naturel est à entretenir.
De nombreux projets tels que Redd+ et Flegt, font l’objet de dossiers spécifiques ainsi que d'initiatives internationales en cours.
« La stratégie nationale devra être disponible dans deux semaines. Il est important de la faire approuver, car les financements internationaux sont déjà mis en place et n’attendent que des projets fondés sur les stratégies nationales », a indiqué, Henri Djombo, à son successeur. Au regard des évolutions intervenues dans le domaine forestier, le ministère avait entamé l’élaboration d’un projet de nouvelles lois et politiques forestières. La stratégie nationale de développement durable suit également le même processus. En vue de leur adoption au niveau du gouvernement, le ministre sortant a rassuré Rosalie Matondo de son soutien.
Afin de relever les nouveaux défis de ce secteur, il va falloir améliorer les outils et instruments nécessaires, à savoir : les ressources humaines, les capacités techniques et surtout les moyens de mise en œuvre de la politique forestière. Conseil d’Henri Djombo à son remplaçant. Remerciant son homologue pour le rapport détaillé, la nouvelle patronne des Forêts a déclaré : « Je mesure le poids de ma responsabilité. Je ne ménagerai aucun effort pour venir vers vous, prendre les conseils qu’il faut même en cas de réformes nécessaires ».
Durant les dix-huit ans à la tête de ce département, le ministre sortant de l’Economie forestière a réalisé beaucoup d’avancées dans ce secteur, 2e ressources économiques du pays, aux nombres desquels on peut citer l’augmentation de la production nationale de 500.000m3 en 1997 à 1.000.700 m3 à nos jours. S’agissant de la production des grumes, de 96.000 m3 de sillages on est passé à 350.000 m3. De zéro hectare de forêt aménagée le pays dispose actuellement de 5.600.000 hectares dont 4.000.000 disposant d’un plan d’aménagement. Deux millions d'hectares sont certifiés FSC, standard le plus rigoureux en matière de certification forestière. Par ailleurs, ayant contribué au développement des standards FSC, le Congo pourrait disposer aussi d’un système national de certification. « Aujourd’hui, nous nous y attelons », a souligné Henri Djombo. Concernant les terres protégées, signalons que de 1.700.000 hectares en 1997, le pays compte présentement 4 millions et demi d’hectares de terres protégées. Un début d’écotouristique au parc national d’Odzala qui représente aujourd’hui, le fleuron de notre patrimoine naturel est à entretenir.
De nombreux projets tels que Redd+ et Flegt, font l’objet de dossiers spécifiques ainsi que d'initiatives internationales en cours.
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