|
Cette prise de contact est l’occasion pour Simon Compaoré de prendre le pouls des projets et programmes mis en œuvre au niveau de son département ministériel. Avoir une idée sur le niveau d’exécution des projets et programmes, redonner plus de tonus pour ceux qui marchent et prendre les mesures subséquentes pour ceux qui sont à la traine, c’est l’objectif de cette rencontre qui a débuté tôt autour de 7h 30 mn. « Nous, c’est non-stop », a lancé Simon Compaoré aux participants en les prévenant qu’ils en auront pour des heures de travail.
Au titre des projets et programmes l’on retient entre autres le programme d’appui aux collectivités territoriales (PACT) financé par la Banque mondiale et dont la première phase va de 2011 à 2016, le projet fonds de développement communal (FPDCT/FICOD VI) dont la signature du contrat de financement a eu lieu en 2011 avec la coopération allemande (KFW). Tous ces projets avec quatre autres ont été évalués en 2015. Cependant d’autres programmes sont en phase de démarrage. Il s’agit de l’appui à la décentralisation et à la participation citoyenne (DEPAC) et du programme d’appui à la réforme et aux élections (PARE), tous deux de la coopération suisse.
Au total c’est une vingtaine des projets, programmes et investissements qui seront présentés à Simon Compaoré qui devra rendre compte en conseil des ministres.
Dans la même matinée, Pierre Buyoya, le représentant de l’Union africaine pour le Mali a été reçu en audience par Simon Compaoré. Il dit être venu parler des stratégies la lutte contre le terrorisme, la « priorité des priorités » en ce moment dans la sous-région. Convaincu qu’ « aucun pays ne peut, tout seul, faire face à ce fléau », il a rappelé l’importance d’une mutualisation des efforts à travers les renseignements et le renforcement des capacités des Etats.
Herman Frédéric BASSOLE
Lefaso.net
Entendu au ministère de l’administration territoriale
Avant de leur demander de se retirer pour le huis clos avec les responsables des projets et programmes, le ministre d’Etat Simon Compaoré a proposé aux journalistes une rencontre bimestrielle afin de discuter du fonctionnement du ministère, des problèmes et des avancées. « Mais entretemps, s’il y a des besoins, nous on ne fuit pas les micros mais on n’aime pas parler aussi au hasard. Quand c’est nécessaire on parle, quand ça ne l’est pas on pas on ne parle pas. Il faut plutôt travailler pour que vous voyez les résultats », a-t-il conclu.
Au titre des projets et programmes l’on retient entre autres le programme d’appui aux collectivités territoriales (PACT) financé par la Banque mondiale et dont la première phase va de 2011 à 2016, le projet fonds de développement communal (FPDCT/FICOD VI) dont la signature du contrat de financement a eu lieu en 2011 avec la coopération allemande (KFW). Tous ces projets avec quatre autres ont été évalués en 2015. Cependant d’autres programmes sont en phase de démarrage. Il s’agit de l’appui à la décentralisation et à la participation citoyenne (DEPAC) et du programme d’appui à la réforme et aux élections (PARE), tous deux de la coopération suisse.
Au total c’est une vingtaine des projets, programmes et investissements qui seront présentés à Simon Compaoré qui devra rendre compte en conseil des ministres.
Dans la même matinée, Pierre Buyoya, le représentant de l’Union africaine pour le Mali a été reçu en audience par Simon Compaoré. Il dit être venu parler des stratégies la lutte contre le terrorisme, la « priorité des priorités » en ce moment dans la sous-région. Convaincu qu’ « aucun pays ne peut, tout seul, faire face à ce fléau », il a rappelé l’importance d’une mutualisation des efforts à travers les renseignements et le renforcement des capacités des Etats.
Herman Frédéric BASSOLE
Lefaso.net
Entendu au ministère de l’administration territoriale
Avant de leur demander de se retirer pour le huis clos avec les responsables des projets et programmes, le ministre d’Etat Simon Compaoré a proposé aux journalistes une rencontre bimestrielle afin de discuter du fonctionnement du ministère, des problèmes et des avancées. « Mais entretemps, s’il y a des besoins, nous on ne fuit pas les micros mais on n’aime pas parler aussi au hasard. Quand c’est nécessaire on parle, quand ça ne l’est pas on pas on ne parle pas. Il faut plutôt travailler pour que vous voyez les résultats », a-t-il conclu.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire