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mardi 12 janvier 2016

REUNION SECRETE A SON DOMICILE: KPC dément

L’homme d’affaire guinéen, Kerfala Personne Camara communément appelé ‘’ KPC’’, invité de l’émission les ‘’Grandes Gueules’’ de ce mardi, 12 janvier 2016 de la radio privée ‘’Espace Fm’’, a démenti tout propos affirmant qu’il y a eu une réunion sécrète, avec certains cadres de la Basse-Côte, à son domicile privé à Lambany, dans le but de parler de l’après Alpha Condé
Interrogé sur ce sujet qui défraie la chronique dans la cité, Kerfala Personne Camara (KPC) a indiqué qu’il n’y a jamais eu de réunion politique secrète avec certains cadres de la Basse-Côte à sa résidence privée.
L’homme d’affaire guinéen a également dit  que chaque trois jours, il réunit des amis  chez lui,  pour discuter de leurs propres problèmes, pas de la politique à plus forte raison de parler de l’après Alpha Condé. ‘’ Je m’en vais vous dire que lorsque je me suis assis, et que j’ai fait mes analyses, j’ai compris que c’est mon ami Mounir Cissé qui a fait parvenir  une telle information émaillée de mensonge auprès du président de la république… ‘’
‘’ Il n’y a jamais eu de réunion secrète chez moi. Nous avons l’habitude  d’être chez moi, chaque trois mois. Mais, sachez que le rôle du menteur, c’est de déplacer une montagne pour autre  un endroit’’, a-t-il noté.    
Il a aussi déclaré que depuis longtemps, il s’est interdit toute activité politique dans le pays. ‘’ Pour cela, si vous avez constaté, j’ai même demandé à Tidiane Traoré de démissionner  de mon entreprise pour se  consacrer à la politique ou de quitter la politique pour rester dans la société’’, a-t-il martelé.  
Cependant, KPC a aussi déclaré qu’après s’êztre informé plus amplement, il a compris qu’il s’était tropmé et que Mounir Cissé n’avait pas fait ce qu’il avait cru. Selon Mounir Cissé, KPC lui aurait même présenté des excuses. Ce que ce dernier ne reconnait pas, tout en admettant qu’il s’est trompé en ce qui concerne l’information du président Alpha Condé par ce dernier.
Mais le plus truculent dans toute cette affaire, c’est cette relative crainte de l’un et l’autre des protagonistes d’avoir pu parler de l’après Alpha Condé, en 2020 ; comme si cela était interdit. Alors que ce second mandat nselon la constitution doit bien être le dernier de l’actuel président.

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