Il s’agit des aéroports internationaux Maya-Maya de Brazzaville, Agostino Neto de Pointe-Noire et d’Ollombo, dans le département des Plateaux.
Les 18 milliards de francs CFA représentent 56% du coût global des travaux à effectuer dans ces trois aéroports. Le coût global des travaux est estimé à 32 milliards de francs CFA.
Le prêt a été octroyé par quatre banques, notamment la Banque de développement des Etats de l’Afrique Centrale (BDEAC), avec 7 milliards ; la Société Générale du Congo, avec 4,500 milliards ; la BGFI Bank Congo avec 4,500 milliards aussi ; et la Banque commerciale internationale (BCI), avec 2 milliards de francs CFA.
Pour l’aéroport de Pointe-Noire, le projet à réaliser concerne la finalisation des travaux de balisage lumineux, de la mise aux normes internationales de la chaussée aéronautique et l’assainissement du site.
Dans l’ensemble des aéroports, AERCO va s’employer à la réhabilitation du circuit électrique, l’acquisition, le déploiement du matériel informatique et de télécommunications, ainsi qu’à l’érection des vidéos de surveillance pour y renforcer la sécurité.
Partie majoritaire, la BDEAC s’engage à travers ce prêt à accompagner les efforts de diversification de l’économie congolaise, prônée par le gouvernement. Cette volonté manifeste de cette banque sous-régionale répond à la politique des pays de l’espace CEMAC (Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale), qui cherchent à sortir de l’emprise des ressources pétrolières sur leurs économies.
L’accord de financement entre l’AERCO et les différents responsables des banques a été signé récemment au siège de la BDEAC à Brazzaville. L’AERCO a été représentée par son directeur général, Alain Berquez.
A cette occasion, le vice-président de la BDEAC, Armand Guy Zoungueré Sokambi, a souligné la nécessité de réviser le mécanisme de sécurisation de paiement pour garantir l’équité dans le remboursement de la dette de chaque partie.
Les 18 milliards de francs CFA représentent 56% du coût global des travaux à effectuer dans ces trois aéroports. Le coût global des travaux est estimé à 32 milliards de francs CFA.
Le prêt a été octroyé par quatre banques, notamment la Banque de développement des Etats de l’Afrique Centrale (BDEAC), avec 7 milliards ; la Société Générale du Congo, avec 4,500 milliards ; la BGFI Bank Congo avec 4,500 milliards aussi ; et la Banque commerciale internationale (BCI), avec 2 milliards de francs CFA.
Pour l’aéroport de Pointe-Noire, le projet à réaliser concerne la finalisation des travaux de balisage lumineux, de la mise aux normes internationales de la chaussée aéronautique et l’assainissement du site.
Dans l’ensemble des aéroports, AERCO va s’employer à la réhabilitation du circuit électrique, l’acquisition, le déploiement du matériel informatique et de télécommunications, ainsi qu’à l’érection des vidéos de surveillance pour y renforcer la sécurité.
Partie majoritaire, la BDEAC s’engage à travers ce prêt à accompagner les efforts de diversification de l’économie congolaise, prônée par le gouvernement. Cette volonté manifeste de cette banque sous-régionale répond à la politique des pays de l’espace CEMAC (Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale), qui cherchent à sortir de l’emprise des ressources pétrolières sur leurs économies.
L’accord de financement entre l’AERCO et les différents responsables des banques a été signé récemment au siège de la BDEAC à Brazzaville. L’AERCO a été représentée par son directeur général, Alain Berquez.
A cette occasion, le vice-président de la BDEAC, Armand Guy Zoungueré Sokambi, a souligné la nécessité de réviser le mécanisme de sécurisation de paiement pour garantir l’équité dans le remboursement de la dette de chaque partie.
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