La mouvance présidentielle pour sa part a appelé les citoyens au calme, dans l’attente des résultats, qu’elle a d’ores et déjà qualifiés comme émanant de la volonté populaire.
La crispation est à son comble à Conakry et le rejet des résultats du scrutin présidentiel par l’opposition, alors que la Ceni n’a pas encore proclamé les résultats provisoires, n’est pas fait pour améliorer les choses. La ville de Conakry vit au ralenti en ce deuxième jour après le scrutin, principalement sur l’axe routier Hamdallaye-Bambeto-Cosa-Kagbelin.
Les commerces sont fermés sur le long de cette voie et la circulation routière est réduite. Des heurts ont déjà été signalés par endroit notamment à Hamdallaye et du coté de Dixinn près du domicile du chef de file de l’opposition guinéenne, Cellou Dalein Diallo.
La suite est d’autant plus imprévisible, que les positions des acteurs politiques semblent tranchées et inconciliables. Si du côté de la mouvance on entrevoie déjà le ‘’un coup ko’’, l’opposition parle de tout sauf d’élection crédible, équitable et transparente. Cependant que la communauté internationale (UA, UE, OIF, CEDEAO, USA) reconnaît le scrutin valide, malgré les dysfonctionnements enregistrés, qui ne sont pas de nature à compromettre le vote des Guinéens.
La crispation est à son comble à Conakry et le rejet des résultats du scrutin présidentiel par l’opposition, alors que la Ceni n’a pas encore proclamé les résultats provisoires, n’est pas fait pour améliorer les choses. La ville de Conakry vit au ralenti en ce deuxième jour après le scrutin, principalement sur l’axe routier Hamdallaye-Bambeto-Cosa-Kagbelin.
Les commerces sont fermés sur le long de cette voie et la circulation routière est réduite. Des heurts ont déjà été signalés par endroit notamment à Hamdallaye et du coté de Dixinn près du domicile du chef de file de l’opposition guinéenne, Cellou Dalein Diallo.
La suite est d’autant plus imprévisible, que les positions des acteurs politiques semblent tranchées et inconciliables. Si du côté de la mouvance on entrevoie déjà le ‘’un coup ko’’, l’opposition parle de tout sauf d’élection crédible, équitable et transparente. Cependant que la communauté internationale (UA, UE, OIF, CEDEAO, USA) reconnaît le scrutin valide, malgré les dysfonctionnements enregistrés, qui ne sont pas de nature à compromettre le vote des Guinéens.
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