CONGOSITE) - Le Conseil économique et social avait ratifié, en novembre 2000, un document relatif aux droits humains fondamentaux. Pour permettre aux cadres de maîtriser le contenu de ce document et de mieux l'expliquer, des séances de vulgarisation sont organisées du 7 au 8 avril à Brazzaville.
«Le développement économique demeure indissociable de l’épanouissement de la personne humaine, en respect de sa dignité et de sa liberté. Le gouvernement congolais ne ménagera aucun effort pour relever le défi lié à la visibilité et l’exhaustivité des droits humains fondamentaux consacrés dans ce document », a déclaré le secrétaire général de la présidence de la République, Jean Baptiste Ondaye, présidant les travaux d’ouverture organisés en partenariat avec le CES du Maroc.
Jean Baptiste Ondaye a ensuite relevé que le Congo continuera à veiller au respect des droits humains fondamentaux tels que définis au plan universel.
« A l’instar de tous les autres CES, notre institution a pour ambition de contribuer réellement au mieux-être, à la prospérité au Congo et à la solidarité entre nos pays respectifs, en s’appuyant sur le dialogue civil, social et culturel », a dit , pour sa part, le président du CES, Jean marie Tassoua. Il a profité de l’occasion pour réaffirmer son attachement au processus de coopération internationale et de solidarité des membres de l’Union des Conseils économiques et sociaux des Etats et gouvernements membres de la Francophonie.
Saluant les relations qui existent entre le Congo et son pays, la représentante du CES du Maroc, Laila Berbich, a réitéré sa volonté de contribuer en faveur de la promotion des droits humains afin de lutter contre la discrimination et l’inégalité, notamment des sexes au sein des pays membres de la Francophonie.
En vue de contribuer à la visibilité et l’effectivité des droits humains fondamentaux consacrés dans ladite charte, le CES avait réalisé en mars 2014, une enquête relative à la vulgarisation de ce document. Celle-ci avait malheureusement révélé un certain nombre de lacunes et de manquements auprès des agents, qui avaient des difficultés à interpréter certains indicateurs clés, faute de connaissance exacte du contenu de ce document. D’où l’organisation des journées de vulgarisation.
Jean Baptiste Ondaye a ensuite relevé que le Congo continuera à veiller au respect des droits humains fondamentaux tels que définis au plan universel.
« A l’instar de tous les autres CES, notre institution a pour ambition de contribuer réellement au mieux-être, à la prospérité au Congo et à la solidarité entre nos pays respectifs, en s’appuyant sur le dialogue civil, social et culturel », a dit , pour sa part, le président du CES, Jean marie Tassoua. Il a profité de l’occasion pour réaffirmer son attachement au processus de coopération internationale et de solidarité des membres de l’Union des Conseils économiques et sociaux des Etats et gouvernements membres de la Francophonie.
Saluant les relations qui existent entre le Congo et son pays, la représentante du CES du Maroc, Laila Berbich, a réitéré sa volonté de contribuer en faveur de la promotion des droits humains afin de lutter contre la discrimination et l’inégalité, notamment des sexes au sein des pays membres de la Francophonie.
En vue de contribuer à la visibilité et l’effectivité des droits humains fondamentaux consacrés dans ladite charte, le CES avait réalisé en mars 2014, une enquête relative à la vulgarisation de ce document. Celle-ci avait malheureusement révélé un certain nombre de lacunes et de manquements auprès des agents, qui avaient des difficultés à interpréter certains indicateurs clés, faute de connaissance exacte du contenu de ce document. D’où l’organisation des journées de vulgarisation.
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