Brazzaville, Congo (CONGOSITE) – Le Boeing 757-200 de la compagnie Equatorial Congo Airlines (ECAIR) est cloué au sol de l’aéroport Roissy Charles de Gaule, en France, pour une affaire en justice qui n'est pas toujours claire et dont les tenants et les aboutissants sont difficiles à connaître. Les responsables d'ECAIR confirment que cette saisie à l’encontre de leur avion est illégale.
le Boeing 757-200
Il y a presque deux semaine que le Boeing 757-200 d'ECAIR qui desservait la ligne Brazzaville-Paris est saisi dans la capitale française. La direction d'ECAIR juge illégale la saisie de son avion, car cette saisie est fondée sur un jugement opposant des tiers autre et le montant accordé dans ce jugement n’est en toute hypothèse pas dû par ECAIR.
«Nous considérons que cette saisie est totalement illégale, parce que la décision de la justice fait référence à des tiers et que les sommes qui sont indiquées dans ce dossier de justice ne sont pas dues par notre compagnie. Nos avocats sont à pied d’œuvre afin que notre Boeing 757-200 puisse nous être restitué dans les brefs délais», a expliqué Nicolas Negoce, chargé de communication de la compagnie.
Nicolas Negoce a affirmé que cette saisie n’entravait pas le fonctionnement de la compagnie. «Nous avons tout fait pour éviter le maximum de désagréments à nos passagers.Nous avons revu notre programme de vols et nous continuons à desservir Paris, Dubaï, nos destinations intercontinentales. Nous allons lancer notre troisième destination intercontinentale de Beyrouth dans peu de temps. Nous allons vers Dakar, Bamako. Nous comptons ouvrir Luanda, Abidjan, Bangui et Ndjamena. La compagnie aérienne nationale de la République du Congo continue à travailler pour le bien-être des passagers congolais, Africains».
Il faudra donc attendre le dénouement de cette affaire avant que le Boeing 757-200 ne regagne le Congo.
«Nous considérons que cette saisie est totalement illégale, parce que la décision de la justice fait référence à des tiers et que les sommes qui sont indiquées dans ce dossier de justice ne sont pas dues par notre compagnie. Nos avocats sont à pied d’œuvre afin que notre Boeing 757-200 puisse nous être restitué dans les brefs délais», a expliqué Nicolas Negoce, chargé de communication de la compagnie.
Nicolas Negoce a affirmé que cette saisie n’entravait pas le fonctionnement de la compagnie. «Nous avons tout fait pour éviter le maximum de désagréments à nos passagers.Nous avons revu notre programme de vols et nous continuons à desservir Paris, Dubaï, nos destinations intercontinentales. Nous allons lancer notre troisième destination intercontinentale de Beyrouth dans peu de temps. Nous allons vers Dakar, Bamako. Nous comptons ouvrir Luanda, Abidjan, Bangui et Ndjamena. La compagnie aérienne nationale de la République du Congo continue à travailler pour le bien-être des passagers congolais, Africains».
Il faudra donc attendre le dénouement de cette affaire avant que le Boeing 757-200 ne regagne le Congo.
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