(CONGOSITE) - Le ministre délégué, conseiller spécial du chef de l’Etat congolais, secrétaire général du Conseil national de sécurité (CNS), Jean Dominique Okemba, a invité le 6 février à Brazzaville, les pays membres du comité des services de renseignements et de sécurité africains (CISSA) à plus d’efforts pour enrayer les fléaux qui minent leur zone.
Il s’est exprimé lors de la cérémonie d’ouverture de la réunion du bureau régional du CISSA pour l’Afrique centrale.
Selon Jean Dominique Okemba, cette rencontre, qui se tient dans le contexte d’un monde en perpétuel changement où les acquis d’hier sont continuellement remis en cause par de multiples contingences, permettra de favoriser l’amélioration des capacités contributives de cette organisation dans la prise en charge des crises qui minent l’Afrique centrale.
«Il n’y a pas de souveraineté sans maîtrise de paramètres sécuritaires. Aussi, je vous exhorte à bâtir des stratégies visant à enrayer les fléaux et les menaces qui minent notre sous-région, pour la sanctuarisation de la paix et la quiétude des peuples de notre espace sous régional», a- t-il déclaré.
Jean Dominique Okemba a, en outre, signifié qu’il était nécessaire d’ériger une digue aux menaces répertoriées afin de garantir aux pays de la sous-région la sécurité commune, indispensable à la stabilité des Etats et à la promotion du développement tant souhaité.
L’idéal, comme l’indiquent les objectifs poursuivis par le CISSA, est de servir de guide en matière de renseignements et de sécurité, afin de promouvoir la paix, la sécurité et la stabilité. La réunion de Brazzaville, qui se tient dans un contexte marqué par la montée du terrorisme dans la région du Lac Tchad, obéit aux orientations de la 12ème conférence du CISSA tenue à Nairobi au Kenya en août 2014.
Au cours de cette rencontre, les participants vont évaluer la situation sécuritaire dans la sous-région, avant de doter l’organisation d’un mécanisme capable de contrer les sources d’insécurité d’une manière adéquate et concertée.
Selon Jean Dominique Okemba, cette rencontre, qui se tient dans le contexte d’un monde en perpétuel changement où les acquis d’hier sont continuellement remis en cause par de multiples contingences, permettra de favoriser l’amélioration des capacités contributives de cette organisation dans la prise en charge des crises qui minent l’Afrique centrale.
«Il n’y a pas de souveraineté sans maîtrise de paramètres sécuritaires. Aussi, je vous exhorte à bâtir des stratégies visant à enrayer les fléaux et les menaces qui minent notre sous-région, pour la sanctuarisation de la paix et la quiétude des peuples de notre espace sous régional», a- t-il déclaré.
Jean Dominique Okemba a, en outre, signifié qu’il était nécessaire d’ériger une digue aux menaces répertoriées afin de garantir aux pays de la sous-région la sécurité commune, indispensable à la stabilité des Etats et à la promotion du développement tant souhaité.
L’idéal, comme l’indiquent les objectifs poursuivis par le CISSA, est de servir de guide en matière de renseignements et de sécurité, afin de promouvoir la paix, la sécurité et la stabilité. La réunion de Brazzaville, qui se tient dans un contexte marqué par la montée du terrorisme dans la région du Lac Tchad, obéit aux orientations de la 12ème conférence du CISSA tenue à Nairobi au Kenya en août 2014.
Au cours de cette rencontre, les participants vont évaluer la situation sécuritaire dans la sous-région, avant de doter l’organisation d’un mécanisme capable de contrer les sources d’insécurité d’une manière adéquate et concertée.
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