CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE) - La 3ème phase du « Projet Élections » a été lancée le 1er décembre à Brazzaville. C’est un projet de renforcement des capacités des acteurs étatiques et non étatiques du processus électoral.
Le poduim
Le « Projet Elections » a été initié depuis 2012, le gouvernement de la République du Congo et ses partenaires au développement, en l’occurrence l’USAID, l’ambassadeur de France au Congo, la délégation de l’Union Européenne au Congo et le bureau du PNUD. Le PNUD en a assumé le mandat de maîtrise d’ouvrage déléguée, pour le compte du ministère de l’intérieur et de la décentralisation.
Le projet était structuré en trois phases, qui correspondaient au calendrier électoral que le Congo s’était fixé au lendemain de l’élection présidentielle de 2009 et après la concertation politique d’Ewo. La première phase a porté sur l’appui aux élections législatives de 2012 ; la seconde porte sur l’appui aux élections locales de 2013, tenues en septembre 2014. Tout le long de ses deux projets, plusieurs actions ont été menées tant à l’endroit des structures de l’État en charge des élections (DGAE et CONEL), qu’à l’endroit de la population et de la société civile active dans le domaine.
La troisième phase est consacrée à la capitalisation des acquis du projet. Cette phase repose sur deux principaux axes d’actions : le renforcement de l’expertise locale en matière d’administration électorale, à travers une formation de dix jours à la méthode dite BRIDGE, qui est mondialement reconnue comme une des meilleures et qui sera assurée par un partenaire technique, l’Institut Gorée du Sénégal. Les candidats inscrits proviennent des différentes structures (CONEL, CSLC, DGAE, ministère de l’intérieur, société civile) et l’évaluation des acquis, qui se fera dans le cadre d’un atelier prévu après la formation.
«La capitalisation, c’est ce qui nous réunit ce jour. Il s’agit d’un aspect que les parties prenantes avaient très tôt identifié comme objectif, parmi d’autres du projet de renforcement des capacités des Acteurs étatiques et non étatiques du Processus Électoral», a expliqué, le coordonnateur résident par intérim du PNUD au Congo, Dr Aloys Kamuragiye.
Il a fait savoir que, l’intérêt de cette phase de capitalisation réside dans le souci de permettre aux prenantes de répondre à la question «qu’est-ce qui restera lorsque le Projet sera terminé et avec le retrait des prestataires extérieurs».
Le projet était structuré en trois phases, qui correspondaient au calendrier électoral que le Congo s’était fixé au lendemain de l’élection présidentielle de 2009 et après la concertation politique d’Ewo. La première phase a porté sur l’appui aux élections législatives de 2012 ; la seconde porte sur l’appui aux élections locales de 2013, tenues en septembre 2014. Tout le long de ses deux projets, plusieurs actions ont été menées tant à l’endroit des structures de l’État en charge des élections (DGAE et CONEL), qu’à l’endroit de la population et de la société civile active dans le domaine.
La troisième phase est consacrée à la capitalisation des acquis du projet. Cette phase repose sur deux principaux axes d’actions : le renforcement de l’expertise locale en matière d’administration électorale, à travers une formation de dix jours à la méthode dite BRIDGE, qui est mondialement reconnue comme une des meilleures et qui sera assurée par un partenaire technique, l’Institut Gorée du Sénégal. Les candidats inscrits proviennent des différentes structures (CONEL, CSLC, DGAE, ministère de l’intérieur, société civile) et l’évaluation des acquis, qui se fera dans le cadre d’un atelier prévu après la formation.
«La capitalisation, c’est ce qui nous réunit ce jour. Il s’agit d’un aspect que les parties prenantes avaient très tôt identifié comme objectif, parmi d’autres du projet de renforcement des capacités des Acteurs étatiques et non étatiques du Processus Électoral», a expliqué, le coordonnateur résident par intérim du PNUD au Congo, Dr Aloys Kamuragiye.
Il a fait savoir que, l’intérêt de cette phase de capitalisation réside dans le souci de permettre aux prenantes de répondre à la question «qu’est-ce qui restera lorsque le Projet sera terminé et avec le retrait des prestataires extérieurs».
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