CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE) - A l’occasion de la journée de la femme africaine célébrée le 31 juillet, la ministre de la promotion de la femme et de l’intégration de la femme au développement, Catherine Embondza Lipiti, a invité les femmes et filles du Congo à s’intéresser davantage à l’éducation, aux sciences et aux nouvelles technologies, afin d’apporter leur contribution à la renaissance africaine.
D’après Mme Embondza Lipiti, actuellement le gouvernement ne
ménage aucun effort pour assurer toutes les conditions d’accès des
femmes et des filles à l’éducation, la formation, la science et la
technologie.
«L’éducation, les sciences et les nouvelles technologies représentent des enjeux vitaux et profonds des mobiliers pour l’Afrique ; car le continent a besoin de former d’ingénieurs et techniciens pour soutenir le développement de son économie et tirer les bénéfices durable de ses matières premières. C’est à juste titre qu’une attention particulière doit être accordée aux filles et aux femmes au regard de leur importance numérique et leur contribution dans le développement», a dit Mme Embondza Lipiti.
Pour elle, le maintien des filles dans le système éducatif, l’orientation des filles et des femmes vers des carrières scientifiques, la facilité de l’accès aux nouvelles technologies, constituent des défis à relever dans le cadre de la renaissance africaine.
«L’éducation des filles et des femmes est une question de justice et d’égalité dans l’intérêt d’une politique de développement efficace», a-t-elle appuyé.
Placée cette année, au plan continental, sous le thème «le rôle des femmes et des filles dans l’éducation, les sciences et les nouvelles technologies en vue d’une renaissance africaine», la journée de la femme africaine offre aux femmes l’opportunité de réfléchir sur plusieurs thèmes d’actualité en vue de consolider les acquis de leur lutte pour la conquête de leurs droits fondamentaux.
Il s’agit de réunir les femmes de tous les pays d’Afrique autour de l’idéal d’égalité, de développement et de paix ; d’œuvrer à la participation effective des responsables des femmes africaines au développement socio économique et culturel de leurs pays respectifs ; promouvoir les droits de l’homme en vue de l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes.
«L’éducation, les sciences et les nouvelles technologies représentent des enjeux vitaux et profonds des mobiliers pour l’Afrique ; car le continent a besoin de former d’ingénieurs et techniciens pour soutenir le développement de son économie et tirer les bénéfices durable de ses matières premières. C’est à juste titre qu’une attention particulière doit être accordée aux filles et aux femmes au regard de leur importance numérique et leur contribution dans le développement», a dit Mme Embondza Lipiti.
Pour elle, le maintien des filles dans le système éducatif, l’orientation des filles et des femmes vers des carrières scientifiques, la facilité de l’accès aux nouvelles technologies, constituent des défis à relever dans le cadre de la renaissance africaine.
«L’éducation des filles et des femmes est une question de justice et d’égalité dans l’intérêt d’une politique de développement efficace», a-t-elle appuyé.
Placée cette année, au plan continental, sous le thème «le rôle des femmes et des filles dans l’éducation, les sciences et les nouvelles technologies en vue d’une renaissance africaine», la journée de la femme africaine offre aux femmes l’opportunité de réfléchir sur plusieurs thèmes d’actualité en vue de consolider les acquis de leur lutte pour la conquête de leurs droits fondamentaux.
Il s’agit de réunir les femmes de tous les pays d’Afrique autour de l’idéal d’égalité, de développement et de paix ; d’œuvrer à la participation effective des responsables des femmes africaines au développement socio économique et culturel de leurs pays respectifs ; promouvoir les droits de l’homme en vue de l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes.
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