(Agence d'information d'afrique centrale 01/08/14)
Le
principal accusé dans cette affaire a déclaré, le 31 juillet à
Brazzaville, ne pas reconnaître les armes scellées qui lui ont été
présentées. Cet arsenal était composé d’une vingtaine de Kalachnikov
(PMAK), des chargeurs et autres. Cependant, l’ex-colonel a fait savoir
que la perquisition ne s’était pas déroulée en sa présence, car
assure-t-il, il n’a jamais signé un procès-verbal de perquisition. Il a
affirmé ne pas reconnaître les preuves de l’accusation. En rappel, cette
perquisition s’est effectuée après les affrontements du 16 décembre
2013. Le principal accusé a réitéré que la directive opérationnelle qui a
conduit à l’intervention de la force publique à son domicile était incompatible avec la réalité.
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