La course pour occuper le fauteuil de secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) est loin d’être gagnée par un quelconque des postulants, qui prétendent prendre le relais de l’ancien président de la République du Sénégal, Abdou Diouf.
Ce dernier quittant sans aucun doute la tête de l’OIF en novembre prochain, lors du sommet de Dakar, ceux qui aspirent à le remplacer s’activent dans un lobbying intense. Il en ainsi de celle qui jusque-là était considérée comme un joker de luxe, à côté de dinosaures comme le Mauricien Jean Claude de L'Estrac, le Congolais Henri Lopes ou l’ancien président burundais Pierre Buyoya. Il s’agit de Michaëlle Jean, ancienne Gouverneure du Canada, désormais libérée de ses obligations de représentante de la reine d’Angleterre.
Et selon le magazine « Jeune Afrique », c’est Christine St-Pierre, nouvelle ministre française des relations internationales et de la Francophonie, qui est allée rendre visite à Abdou Diouf, ainsi qu’à Laurent Fabius, le 25 juin dernier, pour leur dire que la candidature de Michaëlle Jean a le soutien du gouvernement Valls.
Il se trouve qu’au même moment, au sommet de l’Union Africaine, à Malabo, capitale de la Guinée Equatoriale, se déroulait un autre scénario à plusieurs actes. Le Mauricien Jean Claude de l’Estrac, présent sur les lieux, a fait valoir une promesse que lui aurait faite Abdou Diouf « d’une réunion » sur le sujet à Malabo. Ce qui, à l’en croire, selon toujours JA, ne s’est pas fait faute d’assez de chefs d’Etat francophones présents dans la capitale équato-guinéenne. Néanmoins, le Mauricien a distribué à plusieurs présidents « un fascicule sur papier glacé de 17 pages présentant son parcours et sa vision ».
L’ancien président burundais Pierre Buyoya, lui aussi présent à Malabo, a sollicité une audience avec le président mauritanien Abdel Aziz, président en exercice de l’UA, non sans lui aussi « distribuer une plaquette de 20 pages » portant sur son ambition pour la francophonie.
Seul le Congolais Henri Lopes n’a pas bougé et n’a été aperçu nulle part ; et de ce fait, il risque bien d’être distancé dans la course...
Ce dernier quittant sans aucun doute la tête de l’OIF en novembre prochain, lors du sommet de Dakar, ceux qui aspirent à le remplacer s’activent dans un lobbying intense. Il en ainsi de celle qui jusque-là était considérée comme un joker de luxe, à côté de dinosaures comme le Mauricien Jean Claude de L'Estrac, le Congolais Henri Lopes ou l’ancien président burundais Pierre Buyoya. Il s’agit de Michaëlle Jean, ancienne Gouverneure du Canada, désormais libérée de ses obligations de représentante de la reine d’Angleterre.
Et selon le magazine « Jeune Afrique », c’est Christine St-Pierre, nouvelle ministre française des relations internationales et de la Francophonie, qui est allée rendre visite à Abdou Diouf, ainsi qu’à Laurent Fabius, le 25 juin dernier, pour leur dire que la candidature de Michaëlle Jean a le soutien du gouvernement Valls.
Il se trouve qu’au même moment, au sommet de l’Union Africaine, à Malabo, capitale de la Guinée Equatoriale, se déroulait un autre scénario à plusieurs actes. Le Mauricien Jean Claude de l’Estrac, présent sur les lieux, a fait valoir une promesse que lui aurait faite Abdou Diouf « d’une réunion » sur le sujet à Malabo. Ce qui, à l’en croire, selon toujours JA, ne s’est pas fait faute d’assez de chefs d’Etat francophones présents dans la capitale équato-guinéenne. Néanmoins, le Mauricien a distribué à plusieurs présidents « un fascicule sur papier glacé de 17 pages présentant son parcours et sa vision ».
L’ancien président burundais Pierre Buyoya, lui aussi présent à Malabo, a sollicité une audience avec le président mauritanien Abdel Aziz, président en exercice de l’UA, non sans lui aussi « distribuer une plaquette de 20 pages » portant sur son ambition pour la francophonie.
Seul le Congolais Henri Lopes n’a pas bougé et n’a été aperçu nulle part ; et de ce fait, il risque bien d’être distancé dans la course...
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