Plusieurs
raisons poussent ces transports en commun venus de tous les horizons du
Congo à soutenir, sans relâche, l’idée de changement de la Constitution
du 20 janvier 2002. En ce qui les concerne directement, les
transporteurs en commun constatent avec satisfaction qu'un grand effort
d’intégration départementale se fait inlassablement par le gouvernement.
Cet effort, soutiennent-ils, est rendu
visible par le maillage de l’ensemble du territoire national, par des
infrastructures routières de qualité, leur permettant d’exercer leur
métier dans la quiétude. Selon eux, les routes et ponts construits dans
tout le pays sont un vecteur important pouvant contribuer efficacement
au développement économique du pays.
En tenant compte de la tendance
socioéconomique actuelle du Congo, le pays dispose des atouts
nécessaires lui permettant de devenir émergent à l’horizon 2025. Pour
cela, l’unique stratégie qui faille adopter c’est de soutenir et/ou de
consolider ces avantages. Ceci, en s’appuyant sur le changement de
l’actuelle constitution. «Nous, transporteurs en commun du Congo,
souhaitons vivement le changement de la Constitution du 20 janvier 2002,
pour donner au Congo les chances de réussir son émergence, au-delà de
toutes les limites d’une constitution à changer impérativement »,
ont-ils soutenu dans leur déclaration. C'est dans cette optique que les
transporteurs en commun du Congo appellent à l’avènement d’une nouvelle
République, pacifique, fraternelle, tournée vers le développement total
du peuple congolais.
La déclaration a été rendue publique en
présence du président du collectif des transporteurs en commun du
Congo, Patrick Milandou, et d’autres responsables des organisations de
la société civile dont Jean Galessamy Ibombot, également vice-président
de la Chambre de commerce de Brazzaville.
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