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lundi 28 juillet 2014

Changement de la constitution : les transporteurs en commun se prononcent Dimanche 27 Juillet 2014 - 14:34

l'instar d’autres citoyens congolais qui se sont prononcés sur le changement ou non de la Constitution du 20 janvier 2002, les transporteurs en commun du Congo ont donné leur opinion le 26 juillet à Brazzaville. Ils se sont dits en faveur du changement de cette loi fondamentale.
Plusieurs raisons poussent ces transports en commun venus de tous les horizons du Congo à soutenir, sans relâche, l’idée de changement de la Constitution du 20 janvier 2002. En ce qui les concerne directement, les transporteurs en commun constatent avec satisfaction qu'un grand effort d’intégration départementale se fait inlassablement par le gouvernement.
Cet effort, soutiennent-ils, est rendu visible par le maillage de l’ensemble du territoire national, par des infrastructures routières de qualité, leur permettant d’exercer leur métier dans la quiétude. Selon eux, les routes et ponts construits dans tout le pays sont un vecteur important pouvant contribuer efficacement au développement économique du pays.
En tenant compte de la tendance socioéconomique actuelle du Congo, le pays dispose des atouts nécessaires lui permettant de devenir émergent à l’horizon 2025. Pour cela, l’unique stratégie qui faille adopter c’est de soutenir et/ou de consolider ces avantages. Ceci, en s’appuyant sur le changement de l’actuelle constitution. «Nous, transporteurs en commun du Congo, souhaitons vivement le changement de la Constitution du 20 janvier 2002, pour donner au Congo les chances de réussir son émergence, au-delà de toutes les limites d’une constitution à changer impérativement », ont-ils soutenu dans leur déclaration. C'est dans cette optique que les transporteurs en commun du Congo appellent à l’avènement d’une nouvelle République, pacifique, fraternelle, tournée vers le développement total du peuple congolais. 
La déclaration a été rendue publique en présence du président du collectif des transporteurs en commun du Congo, Patrick Milandou, et d’autres responsables des organisations de la société civile dont Jean Galessamy Ibombot, également vice-président de la Chambre de commerce de Brazzaville.

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