CONGO BRAZZAVILLE (CONGOSITE) - Le Congo s’emploie depuis quelque temps à la construction des infrastructures dont certaines serviront aux festivités du cinquantenaire des jeux africains prévues en juillet 2015 à Brazzaville. Il s’agit du complexe sportif de Kintélé, du village olympique, de la route de la corniche et autres ouvrages visités le 28 juin dernier par le ministre chargé de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux Jean Jacques Bouya.
Premier chantier visité, l’université Denis Sassou N’Guesso se construit dans le temps sur une superficie de 187 hectares à Kintélé, banlieue nord de Brazzaville. Les travaux du campus universitaire qui aura une capacité de 17000 étudiants, sont réalisés à hauteur de 44%. L’alma mater disposera de 27 bâtiments et accueillera dans sa première phase quelque 20.000 étudiants sans compter le corps enseignant et administratif.
«C’est des travaux de grande envergure. Nous sommes satisfaits puisque certains travaux ici concernent les 11èmes jeux africains. Notamment, le campus qui servira d’abord au village olympique pour recevoir des athlètes. On peut dire que les conditions d’études qui se mettent en place ici seront les meilleures. D’ailleurs, l’avenir du pays se décidé ici puisqu’il s’agit de former les jeunes qui finiront par s’approprier le destin de leur pays. Cette saison sèche sera beaucoup plus important parce qu’elle permettra de monter en puissance, de faire avancer l’ensemble de ces travaux qui sont réalisés par trois entreprises», a-t-il déclaré.
S’agissant du chantier du complexe sportif de Kintélé où se dérouleront les joutes des 11èmes jeux africains en juillet 2015, M. Bouya a indiqué que celui-ci était en avance de trois semaines par rapport au calendrier contractuel. «Dans notre continent, ce genre d’ouvrages se comptent du bout des doigts. C’est un stade qui rivalise avec les stades mythiques de la planète. Il n’y a pas que le stade, c’est tout le complexe avec d’autres structures. Le travail se déroule bien, nous sentons que les calendriers seront tenus. Le président de la République y tient. Les jeux doivent se tenir surtout que les premiers ont eu lieu à Brazzaville, il y a 50 ans», a-t-il renchéri.
D’un coût de près de 380 milliards de francs CFA, le complexe sportif de Kintélé disposera entre autres, d’un stade de football de 60.055 places, d’un palais des sports de 10140 places, d’un hôtel de grand standing, d’un centre nautique de 2028 places, d’un centre média, d’un village olympique, d’un centre d’exposition, des terrains de basketball, handball, volleyball, tennis et pétanque, des aires de football de plage et de volleyball de plage, d’un héliport, d’un restaurant, d’un café et d’autres commodités.
A côté du complexe sportif de Kintélé, se construit une voie d’accès rapide à la lisière du fleuve Congo. Il s’agit notamment de la troisième sortie nord de Brazzaville dont les travaux portent sur l’installation d’un viaduc d’environ 4m de hauteur dans la zone marécageuse sur 7km, soutenu par quelque 728 pieux. Le projet prévoit aussi la construction d’un échangeur vers l’ancienne usine Kronenbourg, dans le 6ème arrondissement (Talangaï).
Après avoir constaté l’évolution du chantier, le ministre en charge de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux, a fustigé le comportement de certains Congolais qui s’adonnent à l’occupation illégale des emprises des routes.
«C’est des travaux de grande envergure. Nous sommes satisfaits puisque certains travaux ici concernent les 11èmes jeux africains. Notamment, le campus qui servira d’abord au village olympique pour recevoir des athlètes. On peut dire que les conditions d’études qui se mettent en place ici seront les meilleures. D’ailleurs, l’avenir du pays se décidé ici puisqu’il s’agit de former les jeunes qui finiront par s’approprier le destin de leur pays. Cette saison sèche sera beaucoup plus important parce qu’elle permettra de monter en puissance, de faire avancer l’ensemble de ces travaux qui sont réalisés par trois entreprises», a-t-il déclaré.
S’agissant du chantier du complexe sportif de Kintélé où se dérouleront les joutes des 11èmes jeux africains en juillet 2015, M. Bouya a indiqué que celui-ci était en avance de trois semaines par rapport au calendrier contractuel. «Dans notre continent, ce genre d’ouvrages se comptent du bout des doigts. C’est un stade qui rivalise avec les stades mythiques de la planète. Il n’y a pas que le stade, c’est tout le complexe avec d’autres structures. Le travail se déroule bien, nous sentons que les calendriers seront tenus. Le président de la République y tient. Les jeux doivent se tenir surtout que les premiers ont eu lieu à Brazzaville, il y a 50 ans», a-t-il renchéri.
D’un coût de près de 380 milliards de francs CFA, le complexe sportif de Kintélé disposera entre autres, d’un stade de football de 60.055 places, d’un palais des sports de 10140 places, d’un hôtel de grand standing, d’un centre nautique de 2028 places, d’un centre média, d’un village olympique, d’un centre d’exposition, des terrains de basketball, handball, volleyball, tennis et pétanque, des aires de football de plage et de volleyball de plage, d’un héliport, d’un restaurant, d’un café et d’autres commodités.
A côté du complexe sportif de Kintélé, se construit une voie d’accès rapide à la lisière du fleuve Congo. Il s’agit notamment de la troisième sortie nord de Brazzaville dont les travaux portent sur l’installation d’un viaduc d’environ 4m de hauteur dans la zone marécageuse sur 7km, soutenu par quelque 728 pieux. Le projet prévoit aussi la construction d’un échangeur vers l’ancienne usine Kronenbourg, dans le 6ème arrondissement (Talangaï).
Après avoir constaté l’évolution du chantier, le ministre en charge de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux, a fustigé le comportement de certains Congolais qui s’adonnent à l’occupation illégale des emprises des routes.
«Il est implanté ici un ouvrage important qui aura aussi ses aléas. C’est-à-dire il faut créer toutes les conditions d’assainissement requis. Nous sommes obligés d’aménager l’environnement autour de ces installations de grande importance. Nous voyons des constructions anarchiques dans les environs. Quand il y a les pluies, les eaux drainées par ces grands ouvrages vont emporter ces constructions vers le fleuve Congo. Après, les Congolais vont pleurer et les pouvoirs publics seront coincés», a-t-il souligné.
La première usine d’eau potable de Djiri (2250m3) en pleine réhabilitation a figuré aussi parmi les infrastructures visitées. La seconde usine (5250m3) étant opérationnelle depuis juin 2013, M. Bouya a demandé aux cadres en charge de la gestion de l’infrastructure de s’activer dans la fourniture d’eau potable aux populations.
Les logements modernes en construction sur les sites des casernes de Mpila ont constitué le point de chute de cette visite des chantiers. En dehors des habitations, le site accueil un centre commercial et un musée de l’histoire du pays.
«C’est le musée de l’histoire du Congo. Parce qu’il est important à chaque fois que nous évoluons, nous puissions toujours marquer un point d’arrêt et regarder quel a été le parcours pour éviter ce qu’on a vécu dans le passé. Le président de la République veut à travers ce grand musée permettre aux Congolais de voyager en quelles heures dans le passé de leur pays pour mieux appréhender l’avenir», a dit M. Bouya.
A propos de la réhabilitation des habitations complètement détruites par le drame de 4 mars 2012, il a fait savoir que «les experts sont sur le terrain pour assurer la propriété réelle pour que très rapidement à l’arrière nous commençons la construction nouvelle de cette partie des propriétés privée pour que chacun intègre une maison digne dans un espace transfiguré. Les habitants de ces quartiers auront les conditions mieux que celles d’avant».
Signalons que sur l’ensemble des chantiers visités, les responsables des sociétés en charge des travaux et des techniciens congolais rassurent quant au respect des délais d’achèvement des travaux surtout ceux liés aux jeux africains.
La première usine d’eau potable de Djiri (2250m3) en pleine réhabilitation a figuré aussi parmi les infrastructures visitées. La seconde usine (5250m3) étant opérationnelle depuis juin 2013, M. Bouya a demandé aux cadres en charge de la gestion de l’infrastructure de s’activer dans la fourniture d’eau potable aux populations.
Les logements modernes en construction sur les sites des casernes de Mpila ont constitué le point de chute de cette visite des chantiers. En dehors des habitations, le site accueil un centre commercial et un musée de l’histoire du pays.
«C’est le musée de l’histoire du Congo. Parce qu’il est important à chaque fois que nous évoluons, nous puissions toujours marquer un point d’arrêt et regarder quel a été le parcours pour éviter ce qu’on a vécu dans le passé. Le président de la République veut à travers ce grand musée permettre aux Congolais de voyager en quelles heures dans le passé de leur pays pour mieux appréhender l’avenir», a dit M. Bouya.
A propos de la réhabilitation des habitations complètement détruites par le drame de 4 mars 2012, il a fait savoir que «les experts sont sur le terrain pour assurer la propriété réelle pour que très rapidement à l’arrière nous commençons la construction nouvelle de cette partie des propriétés privée pour que chacun intègre une maison digne dans un espace transfiguré. Les habitants de ces quartiers auront les conditions mieux que celles d’avant».
Signalons que sur l’ensemble des chantiers visités, les responsables des sociétés en charge des travaux et des techniciens congolais rassurent quant au respect des délais d’achèvement des travaux surtout ceux liés aux jeux africains.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire