Le gouvernement congolais et l'ambassade de France au Congo ont signé le 1er juillet à Brazzaville, une convention de financement d'un montant de 27 milliards de FCFA, pour la construction d'une partie de la route de la corniche, longeant le fleuve Congo à Brazzaville. La convention a été signée par le ministre congolais des finances, Gilbert Ondongo, et l'ambassadeur de France au Congo, Jean Pierre Vidon.
Ce financement fait partie du contrat de désendettement et de développement (CD2). Il va permettre de moderniser la route de la corniche sur près de 4 km.
En plus de la construction de la route de la corniche, il servira également à l'aménagement urbain des arrondissements 1 et 2, (Bacongo et Makélékélé).
"C'est un projet doublement symbolique qui permet, tout d'abord, de transformer Brazzaville ouvrant la ville sur le fleuve, là où jusqu'à présent elle lui tournait le dos. C'est surtout un projet qui permet de mobiliser les fonds CD2 pour des investissements qui transformeront la vie des habitants de ces deux arrondissements de manière spécifique, des Brazzavillois de manière générale", a déclaré l'ambassadeur de France.
Le ministre congolais a, de son côté, remercié la France pour ce "don qui intervient après l'annulation d'une partie très importante de la dette du Congo, qui est un boulet qui empêchait le pays de marcher sur le chemin du développement".
En plus de la construction de la route de la corniche, il servira également à l'aménagement urbain des arrondissements 1 et 2, (Bacongo et Makélékélé).
"C'est un projet doublement symbolique qui permet, tout d'abord, de transformer Brazzaville ouvrant la ville sur le fleuve, là où jusqu'à présent elle lui tournait le dos. C'est surtout un projet qui permet de mobiliser les fonds CD2 pour des investissements qui transformeront la vie des habitants de ces deux arrondissements de manière spécifique, des Brazzavillois de manière générale", a déclaré l'ambassadeur de France.
Le ministre congolais a, de son côté, remercié la France pour ce "don qui intervient après l'annulation d'une partie très importante de la dette du Congo, qui est un boulet qui empêchait le pays de marcher sur le chemin du développement".
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